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Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
Les radiochimistes de l'unité BioMaps (SHFJ) ont mis au point et automatisé une nouvelle méthode de radiomarquage au fluor-18 de peptides utilisés pour caractériser des signatures moléculaires pathologiques spécifiques et ainsi cibler les traitements. Les peptides ont été conjugués à une étiquette spécifique, puis radiomarqués en une seule étape et en conditions douces, faisant de cette approche une solution innovante pour l’imagerie TEP des peptides marqués au fluor-18.
Dans le cadre d’un consortium européen, une équipe du Laboratoire d’études du métabolisme des médicaments (LEMM – SPI) a analysé le métabolome de 831 personnes atteintes d’une cirrhose décompensée accompagnée ou non de complications aiguës. L’ensemble des données omiques, publiées dans le Journal of Hepatology, montre qu’il existe, dans le sérum des patients, une signature métabolomique spécifique de la forme la plus sévère (ACLF) .
Une équipe de NeuroSpin, en collaboration avec des chercheurs de l’Hôpital Sainte-Anne et de l’Université de Minho, ont développé, grâce à l’imagerie par résonance magnétique, un ensemble unique de ressources pour l’analyse et la visualisation dans le cerveau du rat de données précliniques. Ces travaux, publiés dans Nature Communications, montrent l’intérêt de tels outils, aussi bien pour la recherche fondamentale que pour la recherche translationnelle en neurosciences.
Des chercheurs de NeuroSpin ont développé un algorithme de prétraitement d’images brutes du cerveau obtenues par imagerie par résonance magnétique fonctionnelle chez le primate non humain. L’objectif est de contribuer à harmoniser entre laboratoires les méthodes utilisées, d’améliorer les procédures, de faciliter la comparaison et l’interprétation des images acquises et de limiter au maximum le nombre d’animaux à utiliser dans le cadre des recherches.
Des chercheurs de l’IRAMIS (SPEC) ont collaboré avec une équipe du SPI (LERI) pour le développement d’une biopuce microfluidique (« lab-on-chip ») à base de capteurs magnétiques ultra sensibles à magnétorésistance géante (capteurs GMR), capables de détecter individuellement et de façon efficace des cibles biologiques marquées magnétiquement.
Une étude réalisée par une équipe du SIMOPRO, en collaboration avec Novartis Pharma, permet de mieux comprendre pourquoi l'humanisation des anticorps thérapeutiques n'est pas efficace à 100% pour empêcher le développement d'une résistance ou une réaction allergique à ce type de traitements.
Une équipe du SCBM, en collaboration avec des modélisateurs mauriciens, a montré que l’on pouvait convertir simplement, grâce à des LEDs bleues et un catalyseur à base d’iridium, des acides carboxyliques en petits cycles à quatre atomes de carbone, les cyclobutanes. Ces derniers sont de plus en plus utilisés dans la conception de nouveaux médicaments et la méthode décrite ici contribuera à élargir significativement l’espace chimique exploré en « drug discovery ».
En combinant des études structurales, informatiques et biochimiques, une équipe du SB2SM (CEA-Joliot/I2BC) a conçu des peptides inhibiteurs d’un chaperon d’histones (ASF1) aux effets potentiellement anti-tumoraux. Leur étude, en collaboration avec des équipes du SBIGEM (CEA-Joliot/I2BC) et de l’Institut Curie, ouvre des perspectives originales dans la recherche de nouvelles thérapies anticancéreuses.
Le Laboratoire de Marquage au Carbone 14 (LMC) de l’Institut Joliot décrit dans Angewandte Chemie une nouvelle réaction de bioconjugaion permettant de lier des molécules de grandes complexité pour former des produits fluorescents dérivés du thiophène qui ont des applications aussi bien dans le domaine de la santé que dans celui des matériaux.
Une équipe du SIMOPRO (DMTS) a mis au point, dans le cadre d’une étude collaborative, le premier radio-traceur marqué au 99mTc spécifique d’une enzyme extracellulaire, la MMP-12, surexprimée dans de nombreux processus inflammatoires, dont l’anévrisme aortique abdominal. Ce radio-traceur, qui marque préférentiellement l’anévrisme chez un modèle animal, constituera un outil prometteur pour l’imagerie moléculaire des différentes pathologies dans lesquelles la MMP-12 est impliquée.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.