L’institut des sciences du vivant Frédéric Joliot rassemble environ 740 hommes et femmes, chercheurs, ingénieurs, techniciens, administratifs, doctorants et post-doctorants, autour de projets scientifiques ayant pour objectif de comprendre les mécanismes du vivant, en intégrant toutes les échelles d’analyse temporelles et spatiales.
L’institut réunit des compétences qui couvrent un large spectre de disciplines, indispensable pour conduire des projets essentiellement interdisciplinaires : biologie bien sûr, mais aussi médecine, chimie, physique, ingénierie et sciences du numérique.
… ancrées fortement sur les technologies…
Les recherches conduites à l’institut, fondées à la fois sur des questions de biologie fondamentale et sur des besoins d’applications, justifient des développements technologiques ou méthodologiques spécifiques.
Ainsi, les projets des équipes s’appuient sur des
plateformes techniques de premier plan, labélisées
IBiSA ou intégrées dans des Infrastructures Nationales en Biologie et Santé (INBS) : France Life Imaging (imagerie biomédicale), FRISBI (biologie structurale intégrée), MétaboHUB (métabolomique) et NeurATRIS (recherche translationnelle en neurosciences).
… en réponse à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA.
La culture de projet de l’institut lui confère un positionnement très large, de la production de connaissances aux applications industrielles, en réponse à trois enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA :
Des recherches menées en partenariat
L’institut des sciences du vivant Frédéric Joliot du CEA élabore ses projets scientifiques en concertation avec les autres organismes de recherche et les universités, en particulier l’université Paris-Saclay. Structurellement, la politique de partenariat académique de l’Institut se traduit par l’implication de la quasi-totalité de ses équipes dans des unités mixtes de recherche (UMRs), qui comprennent des personnels salariés par le CNRS, l’INRAE, l’Inria, l’Inserm et les universités.