Ses missions
- Coordonner à l’échelle nationale les activités de recherche en imagerie in vivo et unir les compétences pour repousser les barrières technologiques actuelles, en portant les efforts sur : les agents de contraste et biomarqueurs de diagnostic, le traitement des images, l’instrumentation et l’innovation technologique, l’imagerie interventionnelle et les technologies de thérapies guidées par l’imagerie
- Fournir aux scientifiques, académiques et industriels, un accès à un éventail complet de technologies d’imagerie (150 systèmes d’imagerie) et de services intégrés, harmonisés et de haute qualité
- Proposer des formations associées aux plateformes d’imagerie
Organisation
Coordonnée par Vincent Lebon, directeur de l'UMR BioMaps et chef du Service Hospitalier Frédéric Joliot, assisté d'un responsable opérationnel (Régine Trebossen), FLI s'organise en 6 nœuds régionaux : Bordeaux, Grenoble, Lyon, Marseille, Paris Centre et Paris Sud. Le CEA contribue au nœud Paris Sud au travers de la participation de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot et de l'institut de biologie François Jacob (MIRCen). Un nœud supplémentaire, transversal, est consacré au management des données et à leur analyse. FLI coordonne ses recherches selon 4 axes : agents d'imagerie, instrumentation, traitement de l'image, imagerie interventionnelle.
Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot et FLI
Les équipes et les plateformes du SHFJ et de NeuroSpin sont impliquées dans FLI. Elles apportent leur expertise dans les domaines suivants :
- L'innovation technologique en instrumentation, particulièrement pour l'IRM à haut champ
- L'imagerie multimodale (TEP, IRM) et ses applications
- La gestion et le traitement de l'information (images, informations biologique et génétique)
- Les agents d'imagerie (marquage des macromolécules)
- L'imagerie interventionnelle (traitements par ultrason sous IRM)
Imagerie multimodale de cerveau
Ces images du cerveau sont obtenues en superposant des images IRM qui renseignent sur l’anatomie du cerveau et des images acquises par tomographie par émission de positons (TEP) qui apportent des données fonctionnelles. Ici, la TEP permet d’étudier les modifications du fonctionnement des circuits dopaminergiques. Des modifications s’observent dans de nombreuses maladies : addictions, schizophrénie, maladie de Parkinson. Crédit : SHFJ/CEA