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Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
Des chercheurs du consortium européen M-CUBE, avec une équipe de NeuroSpin, démontrent la possibilité de réaliser une imagerie de deux échantillons par microscopie par résonance magnétique à 17,2 T (imageur de NeuroSpin), à un seul temps d’acquisition, grâce à deux résonateurs céramiques (sondes) couplés qui conduisent à un meilleur rapport signal sur bruit comparé aux sondes de référence en IRM.
Une équipe du SCBM, en collaboration avec l’IRAMIS, le LETI, l’ENS Paris-Saclay, les universités de Rennes et de San José (USA), a développé de nouvelles molécules émettrices de lumière possédant des propriétés qui améliorent la consommation énergétique et la production lumineuse des diodes électroluminescentes organiques (OLEDs). Il s’agit de la première étude corrélant la structure et les propriétés de ce type de matériaux, à l’avenir prometteur dans les technologies d’affichage.
Dans cette étude, les chercheurs de NeuroSpin ont tiré parti de l’ensemble des données cartographiques de l’Individual Brain Charting (IBC), acquises par IRM fonctionnelle à haute résolution au cours de l'exécution de tâches comportementales, pour étudier la faisabilité d'une cartographie individuelle des composantes cognitives qui sous-tendent les tâches. Ils ont ainsi individualisé six régions d’intérêt du réseau linguistique et établi leur profil cognitif.
Denis Le Bihan pose les bases et développe un modèle de propagation diffusionnelle relativistique des influx nerveux au sein du connectome cérébral.
Des chercheurs du SHFJ, de NeuroSpin et du DMTS ont démontré, par imagerie immunoTEP, l’impact de la perméabilisation transitoire de la BHE sur l’exposition cérébrale à un anticorps anti-EGFR. Des perspectives prometteuses pour l’immunothérapie ciblée des glioblastomes.
Une équipe du SIMoS, en collaboration avec le SHFJ, NeuroSpin et l’Institut Butantan, met en évidence, dans un modèle expérimental de sclérose en plaques, des altérations du système nerveux périphérique, jusque-là peu documentées.
Des chercheurs de l’I2BC (SBIGeM), en collaboration avec des équipes de Sorbonne Université, ont caractérisé in vivo des oxydases de cyclodipeptides et montré qu’elles constituent des outils précieux pour produire dans Escherichia coli, grâce à des approches de biologie de synthèse, des 2,5-dicétopipérazines déshydrogénées, précurseurs de molécules bioactives d’intérêt pharmaceutique.
Des chercheurs de NeuroSpin ont utilisé l'imagerie par résonance magnétique fonctionnelle (IRMf) à ultra-haut champ (7 Tesla) pour mieux localiser le traitement et la manipulation des nombres dans le cerveau humain. Les résultats, qui enrichissent notre compréhension de l’organisation fonctionnelle du sillon intra-pariétal, centre cérébral de la numérisation, sont publiés dans NeuroImage.
Des chercheurs de l’équipe PARIETAL (Inria/CEA) à NeuroSpin et de l'université de Zurich ont mis au point un modèle informatique capable de déterminer avec précision l'âge du cerveau. Ce modèle pourrait être utilisé pour combiner différents types de tests des fonctions cérébrales afin de prédire par exemple le déclin cognitif ou la dépression.
Le SCBM et le SIMoS ont collaboré pour optimiser l’activité de Retro-1, un composé de la famille des benzodiazépines, inhibiteur des toxines de Shiga et de la ricine, issu d’un criblage biologique à haut débit. Ils ont réussi à obtenir un analogue 70 fois plus protecteur contre la cytotoxicité des toxines de Shiga, Retro-1.1.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.