Pour accéder à toutes les fonctionnalités de ce site, vous devez activer JavaScript. Voici les instructions pour activer JavaScript dans votre navigateur Web.
Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
Des chercheurs de BioMaps (SHFJ) et du Département de Neurologie de la Mémoire et du Langage (Hôpital Ste Anne) ont étudié les premiers signes cliniques de la Maladie d’Alzheimer (MA) rapportés par des malades jeunes (< 62 ans) par comparaison avec ceux rapportés dans la MA classique du sujet âgé (> 65 ans). Ils montrent que ces signes sont trompeurs et apparaissent souvent dans le contexte professionnel.
Des chercheurs de l’I2BC/CEA-Joliot en collaboration avec une équipe de l’institut Curie et de l’IRCM/CEA-Jacob, posent les bases moléculaires pour expliquer le double rôle du complexe Mlh1-Mlh3 dans la réparation des mésappariements d’ADN et, fait unique, dans l’une des étapes clefs du brassage génétique lors de la méiose.
Une équipe du SIMoS (DMTS) en collaboration avec Sanofi montre que l’introduction de séquences non naturelles dans un peptide immunogène atténue la réponse immunitaire vis-à-vis de ce peptide, une approche qui pourrait guider la conception de peptides thérapeutiques moins immunogènes, donc plus efficaces.
Dans une étude publiée dans Nature Communications, des chercheurs de l'iRCM (CEA-Jacob) et de l'I2BC (CEA-Joliot) décryptent un mécanisme de protection des télomères chez la levure, ouvrant la voie à l'identification de nouvelles cibles thérapeutiques contre le cancer chez l'Homme.
Des chercheurs de BioMaps (SHFJ) ont réussi à déterminer la dynamique d’interaction de la buprénorphine, un médicament opioïde à la pharmacologie particulièrement complexe, avec ses récepteurs cérébraux in vivo. Pour cela, ils ont développé une approche d’imagerie TEP originale basée sur l’utilisation de la molécule radiomarquée (11C-buprénorphine).
Des chercheurs de l’Institut CEA-Joliot (Laboratoire marquage carbone 14), en collaboration avec des équipes de AstraZeneca, de Sanofi et du Nimbe (CEA-Iramis), ont mis au point une méthode de marquage, basée sur l’échange de nitrile à l’aide d’une catalyse au nickel. Cette méthode est actuellement à l’étude chez Sanofi pour le marquage d’un candidat médicament.
L’équipe Ginkgo (BAOBAB/NeuroSpin), en collaboration avec l’unité Inserm iBRAIN U1253, a publié dans NeuroImage le premier atlas anatomique du tronc cérébral humain en IRM à champ extrême, doté d’une résolution mésoscopique. Accessible à tous, sous la forme d’un wiki, cet atlas sera en particulier utilisé par les neuroanatomistes et les neurochirurgiens.
Des chercheurs du CEA, du Collège de France, du CNRS et de l’Université Paris 8 montrent que les humains sont dotés d’une capacité universelle pour comprendre des concepts géométriques abstraits. Cette capacité humaine ne dépend pas de l’âge, de la culture ou de l’éducation, mais n’existe pas chez les primates non humains testés. PNAS vient de publier leurs résultats.
Des chercheurs de BAOBAB (NeuroSpin) et du CNRGH (institut Jacob) ont étudié, à l’échelle du génome entier, les potentielles associations d’haplotypes (ensemble de variants situés côte à côte sur un chromosome) à la valeur d’ouverture de sillons cérébraux imagés, indicateur du vieillissement cérébral, à partir de la cohorte de neuroimagerie-génétique UK Biobank.
Un consortium international de scientifiques, incluant une équipe de l’I2BC, vient de décrypter le fonctionnement de FAP (Fatty Acid Photodecarboxylase), une photoenzyme clé pour la production de biocarburants et d’autres molécules à forte valeur ajoutée. Ce travail, publié dans Science, a fait l’objet d’un communiqué de presse du CEA.
Haut de page
Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.