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Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
Deux chercheurs de UNICOG/NeuroSpin montrent qu’un modèle de récurrence modulée de réseaux de neurones permettrait, dans différents environnements, de faire des prédictions simples, efficaces comme notre cerveau. En plus d’être biologiquement plausible, ce modèle serait généralisable.
En utilisant les données de l’UK Biobank, la plus grande cohorte d'imagerie-génétique sur population générale, une collaboration menée par une équipe de BAOBAB (NeuroSpin) a identifié des gènes impliqués dans l’architecture génétique de la connectivité fonctionnelle du langage. Ces gènes pourraient être prioritaires pour étudier le langage naturel.
La métaprotéomique fournit des instantanés précieux de l’état fonctionnel des microbiotes. Mais les protocoles employés sont encore très divers et les résultats pas toujours facilement comparables. Les acteurs de la discipline, dont le LI2D (Marcoule), s’organisent pour pouvoir rendre la technique encore plus puissante.
Une équipe de NeuroSpin (BAOBAB) a testé une méthode de débruitage du signal dédiée à l’IRM fonctionnelle à très haut champ (7T). Elle se base sur la combinaison pondérée des images provenant de chaque canal de réception de l’antenne radiofréquence, combinaison qui optimise la stabilité du signal au cours du temps.
Une équipe de NeuroSpin a exploité les données sur la santé mentale et les troubles du développement cérébral de sujets de la cohorte Healthy Brain Network. Elle établit un lien entre certains symptômes, prémices de possibles troubles de l’humeur, et des changements structurels du cerveau en développement chez plus de 650 jeunes.
Grâce aux développements récents de la cryomicroscopie électronique, une étude dirigée par une équipe de l’I2BC révèle, à l’échelle atomique, la complexité structurale insoupçonnée des nanotubes de lanréotide, médicament utilisé dans le traitement de l’acromégalie et de certains cancers neuro-endocriniens.
Dans une étude menée par une équipe de l’Institut Curie, des chercheurs du CEA-Joliot (département B3S/I2BC) ont modélisé in silico des interactions protéines-protéines et ainsi contribué à établir au niveau moléculaire les mécanismes qui coordonnent l’appariement et la recombinaison des chromosomes homologues durant la méiose.
Pour développer des sondes d’imagerie TEP de la fonction de transporteurs de la barrière hémato-encéphalique, des chercheurs du SHFJ préconisent d’inclure au processus une évaluation de leur sensibilité, c’est-à-dire leur capacité à détecter de faibles variations de l’activité des transporteurs. Explications avec une étude comparative de radiotraceurs subtrats de la P-glycoprotéine.
Une collaboration initiée en 2017 entre l’AP-HP (hôpital Bichat), l’Université Paris-Saclay (Inserm 1193) et le Laboratoire d’Études du Métabolisme des Médicaments (SPI/DMTS), ayant conduit à 4 publications en 2021, fait progresser la connaissance sur l’origine de certains troubles congénitaux de la glycosylation, grâce à l’identification de biomarqueurs biochimiques spécifiques.
Des équipes de recherche européennes, dont une faisant partie de l’institut Joliot du CEA, analysent le lipidome sanguin de patients atteints de cirrhose. Ils mettent en évidence des biomarqueurs spécifiques des différents stades de la maladie.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.