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Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
Pour pallier le problème des pertes de signal IRM à très haut champ dans certaines régions du corps humain, une collaboration entre le CEA-Joliot, le CEA-Iramis, l’Institut Fresnel et Multiwave Imaging a permis la mise au point d'une nouvelle génération de pads simple et peu onéreuse, à base de carbure de silicium. La nouvelle composition rend les pads invisibles à l’IRM et prolonge leurs performances si on les compare aux solutions existantes.
L’expertise de NeuroSpin en IRM de diffusion a permis d’établir le premier atlas des connectivités anatomiques du cerveau de la caille japonaise à une résolution de 150 m dans les trois dimensions.
Des chercheurs de Neurospin ont réalisé une étude d’imagerie cérébrale longitudinale chez des grands prématurés afin d’analyser la variabilité de la forme du sillon central, à un stade précoce de son développement, et ses implications fonctionnelles.
Une équipe de NeuroSpin, en collaboration avec l’université d’Ulm (Allemagne), a publié dans Nature Communications une étude qui suggère l’existence de détecteurs de corrélations multisensorielles dans le cerveau humain.
Une équipe du SPI (DMTS, Marcoule) a utilisé la spectrométrie de masse pour analyser le degré d’altération du microbiote intestinal de patients Covid-19 et pour rechercher des signatures de l’infection intestinale par le virus SARS-CoV-2. La dysbiose observée chez ces patients pourrait être un indicateur du stade et de l'importance de l'infection.
Une étude menée par des chercheurs de NeuroSpin propose une délinéation optimisée de tumeurs cérébrales rares, basée sur une approche combinée de détection d’objets et de segmentation par apprentissage profond dans des images tumorales, étape clé de la caractérisation des cancers.
Des chercheurs de NeuroSpin proposent une nouvelle version de leur algorithme d’acquisition comprimée en IRM, SPARKLING, étendue à l’imagerie 3D. Leur méthode réduit le temps d’acquisition d’un facteur 20 des examens pondérés en T2* sans compromettre la qualité image.
Le logiciel ptairMS, développé dans le cadre d’une collaboration menée par le CEA-Joliot, permet le traitement et l’analyse des données de spectrométrie de masse par transfert de proton, méthode idéale pour l’étude en temps réel des composés organiques volatils (COVs) présents dans l’air expiré.
Des chercheurs du Laboratoire d’immuno-allergie alimentaire (DMTS) montrent que la voie initiale de sensibilisation à un allergène alimentaire (orale, respiratoire, cutanée) influence directement la nature des réponses immunitaires dans plusieurs sites de l’organisme.
Des chercheurs du SHFJ et du SIMoS ont développé des radioligands optimisés pour l'imagerie par immuno TEP. L’objectif étant de prédire au mieux l’efficacité de l’immunothérapie anti-PD1/anti-PDL1 utilisée pour combattre certains cancers.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.