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Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
En mesurant les réponses en IRMf à des mots écrits, des visages, des maisons et des damiers dans trois groupes d’enfants, pré-lecteurs et lecteurs débutants de 6 ans et lecteurs avancés de 9 ans, une équipe d’UNICOG (NeuroSpin) montre que l'acquisition de la lecture recycle et spécialise un circuit visuel préexistant mais plastique, connecté aux aires du langage.
Une équipe du SIMoS, en collaboration avec le SCBM (DMTS), a développé une approche bio analytique originale basée sur le double marquage isotopique 14C-3H d’un conjugué anticorps-médicament, permettant le suivi simultané des deux composants in vivo chez des souris modèles ainsi que leur quantification précise dans les organes.
Une équipe d'UNICOG (NeuroSpin) apporte la preuve que le cortex préfrontal encode de manière fiable les stimuli visuels même dans des conditions où la perception consciente est incertaine et/ou où la probabilité d'un traitement post-perceptif est réduite.
Des chercheurs du LERI ont développé avec l'AP-HP deux tests immunologiques rapides et peu coûteux de détection de l'antibiorésistance. Nouveauté : les deux tests repèrent l'activité des enzymes bactériennes hydrolysant les céphalosporines à spectre étendu.
Des chercheurs du laboratoire GAIA (UMR BAOBAB / NeuroSpin) ont développé une stratégie de cartographie des fibres de la matière blanche superficielle permettant de démêler la variabilité de son organisation à l'aide d'une stratification de la population basée sur des « tractogrammes » régionaux dérivés de données d’IRM de diffusion.
Une équipe de NeuroSpin a réussi à décoder un vaste ensemble de processus mentaux humains en entraînant des réseaux de neurones à prédire des étiquettes cognitives puisées dans un atlas cognitif et en tirant parti de l'ensemble des données de NeuroVault, une base de données Web pour la collecte et le partage de cartes statistiques du cerveau humain.
Les radiochimistes de BioMaps (SHFJ) ont mis au point et automatisé la synthèse d’une 18F-fluoropyridine contenant une fonction thiol (-SH), permettant ainsi sa conjugaison à des biomolécules modèles en moins de 45 minutes. Un pas vers le radiomarquage rapide de molécules biologiques complexes pour l’imagerie TEP.
Une équipe du SIMoS, en collaboration avec l’hôpital Bicêtre, montre que le certolizumab pegol, un fragment d’anticorps monoclonal pégylé à visée anti-inflammatoire, est moins susceptible de déclencher une réponse immunitaire indésirable que la forme non pégylée.
Des chercheurs de l’ICMMO* et de l’ISMO**, en collaboration avec une équipe de l'I2BC, montrent que les catalyseurs de type porphyrines ferreuses décorées de fonctions urée qu’ils ont développés précédemment pour l’électro-catalyse du CO2, peuvent être employés avec succès dans une approche photo-catalytique.
Une étude impliquant une équipe de l’I2BC dévoile le mécanisme d’autoinhibition de la flippase humaine ATP8B1, ainsi que sa régulation par les lipides et la phosphorylation. L’étude permet de mieux comprendre l’impact des mutations de la flippase responsables de cholestases intrahépatiques sur son activité.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.