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Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
Des chercheurs de l’I2BC (SB2SM), en collaboration avec le CNRS (LCP, ICMMO) ont conçu une approche de photosynthèse artificielle originale, basée sur l’utilisation de nano-polymères semi-conducteurs à base de PolyDiPhenylButadiyne, capables de reproduire la réaction complète de photo-oxydoréduction du Photosystème II des plantes, c’est-à-dire la production d’O2 par photo-oxydation de l’eau et la réduction d’une quinone.
Afin d’optimiser l’amplification de virus inactivé de qualité, en vue de la fabrication d’un vaccin, une équipe du SPI à Marcoule a utilisé la spectrométrie de masse pour analyser la dynamique du protéome de cellules infectées par le SARS-CoV-2, responsable de la Covid-19, à deux multiplicités d’infection. Avec plus de 3220 protéines de l’hôte identifiées, les chercheurs commencent également à décrypter les processus et réseaux cellulaires impactés par ce virus.
Des chercheurs de l’unité BioMaps implantés au SHFJ ont développé un protocole d’imagerie permettant d’étudier in vivo la capacité de transport hépatobiliaire responsable de l’élimination de nombreux médicaments et de mieux comprendre l’hépatotoxicité de certains médicaments.
Les chercheurs du LMC ont développé une nouvelle série d’iminosydnones qui peuvent se couper en deux et libérer deux fluorophores. Ils apportent la preuve de concept de la possibilité de déclencher cette réaction de « click and release » dans des cellules vivantes.
Des chercheurs du SIMoS, en collaboration avec des partenaires de Genopole, Excellgene, Vaxeal holding SA (Suisse), ont utilisé une approche à grande échelle pour cartographier et caractériser la réponse des lymphocytes T CD4 de donneurs sains, vis-à-vis de deux protéines du virus Ebola-Zaïre. Ils ont observé une forte réponse à la nucléoprotéine (NP) du virus et suggèrent que des composants de NP pourraient être inclus dans la conception de nouveaux vaccins Ebola.
Des chercheurs du SPI montrent pour la première fois, dans un modèle murin, l’induction d’une protection croisée contre une infection à Salmonelle et Shigelle, deux bactéries pathogènes responsables de maladies gastro-intestinales (typhoïde, dysenterie entre autres) une des causes principales de morbidité et mortalité dans plusieurs régions d’Afrique et d’Asie.
Des chercheurs de NeuroSpin montrent, dans deux articles publiés dans PLoS ONE, que l’IRM de diffusion permet de suivre l’activité astrocytaire dans le cerveau de manière non invasive, ce qui permet de mieux comprendre son implication dans le système glymphatique et l’IRM fonctionnelle.
Des chercheurs du SPI (Marcoule) ont utilisé la protéomique pour identifier des peptides signatures du virus SARS-CoV-2 exprimés in vitro. Une « short list » de 14 peptides identifiés et caractérisés permet d’envisager des développements en spectrométrie de masse ciblée, faisant de cette approche à grande échelle directe et rapide, implantable en milieu hospitalier, un potentiel outil de choix dans la détection du virus responsable de la Covid-19.
A partir de jeux de données d’IRM du genou et du cerveau, des chercheurs de NeuroSpin et de Cosmostat (CEA-Irfu) ont établi une analyse comparative de plusieurs réseaux de neurones artificiels, approches de plus en plus utilisées pour diminuer significativement le temps d’acquisition en IRM.
Des chercheurs du SCBM en collaboration avec une équipe de l’IRAMIS (CEA/CNRS), AstraZeneca et l’Institut Karolinska ont mis au point une 2e méthode de marquage basée sur l’échange dynamique de dioxyde de carbone, cette fois-ci sans catalyse, par « simple » chauffage thermique. Idéale pour des molécules organiques d’intérêt thérapeutique, la méthode est décrite dans Angewandte Chemie.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.