Pour accéder à toutes les fonctionnalités de ce site, vous devez activer JavaScript. Voici les instructions pour activer JavaScript dans votre navigateur Web.
Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
Une équipe du SCBM qui a découvert en 2013 une réaction inédite répondant aux critères de la chimie click, franchit une nouvelle étape en décrivant dans ce travail des composés appelés fluorosydnones qui réagissent avec une vitesse inégalée sur des alcynes et permettent de lier deux entités, chimiques ou biologiques, avec une grande efficacité.
Dans le cadre d’une collaboration comprenant plusieurs équipes du Groupement Hospitalier Pitié-Salpêtrière-Charles Foix et la société Medday Pharmaceuticals, une équipe du SPI/LEMM a conduit une étude métabolomique du liquide céphalorachidien provenant de patients atteints d’encéphalopathie hépatique qui montre une altération du métabolisme cérébral chez ces patients.
Dans une publication récente de l'équipe Pariétal (NeuroSpin), les chercheurs ont adopté une approche alternative pour améliorer l'acquisition en imagerie par résonance magnétique via la conception d'un nouvel algorithme.
Une étude comportementale de l’équipe de Virginie van Wassenhove (NeuroSpin) montrent que les capacités de voyage mental dans le temps et dans l'espace n'interfèrent que très peu entre elles, ce qui laisse supposer que les mécanismes cérébraux sous-jacents sont également distincts.
Dans le cadre du projet Européen « Meditrans : targeted delivery of nanomedicine», une équipe du SCBM a développé une plateforme à base de nanotubes de carbone pour la délivrance d’anti-inflammatoires.
InterEvDock est un outil conçu et développé au SB2SM/LBSR : il s’agit du premier serveur automatique permettant de générer des modèles de complexes protéiques qui tiennent compte de l’histoire évolutive des interactions protéine-protéine.
Des chercheurs du laboratoire IMIV (CEA/SHFJ), en collaboration avec une équipe autrichienne (Austrian Institute of Technology, Vienne), ont étudié le passage cérébral de l'erlotinib, médicament inhibiteur de tyrosine kinase utilisé notamment lors de traitement contre le cancer bronchique.
L'équipe de Caroline Huron (Unicog, NeuroSpin), spécialisée dans l'étude de la dyspraxie a montré qu’en dépit d’une difficulté à évaluer les quantités numériques de façon précise, les enfants dyspraxiques peuvent utiliser les concepts mathématiques.
Dans le cadre d’un consortium créé en 2009, comprenant des équipes de l’INSERM, de l’UTC Compiègne et des cliniciens, l’équipe d'ingénierie des anticorps du SPI a contribué à une meilleure compréhension du rôle des anticorps catalytiques en conditions normales et pathologiques (cohorte de patients transplantés rénaux).
Ce travail est le fruit d’une collaboration entre l’Université Technologique de Chine du Sud Guangzhou et une équipe du SB2SM qui ont étudié à l’aide de simulations de dynamiques moléculaires tous atomes, les caractéristiques de solubilisation de deux hydrocarbures aro-matiques polycycliques (HAP, pyrène et naphtalène) dans des micelles de SDS, système couramment utilisé dans l’assainissement des sols pollués.
Haut de page
Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.