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Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
Le groupe de Julien Flament (MIRCen) travaille sur une nouvelle modalité d'IRM, appelée CEST pour Chemical Exchange Saturation Transfer, permettant de cartographier in vivo certains métabolites présents dans le cerveau avec une bonne résolution spatiale. Ces travaux ont été menés à MIRCen dans le cadre de l’ANR HDeNERGY
L'équipe de psychiatrie du laboratoire de recherche clinique UNIACT (NeuroSpin), vient de publier une étude comparant grâce à l'IRM multimodale les altérations cérébrales dans deux troubles psychiatriques très fréquents : l'autisme de haut niveau (ou syndrome d'Asperger) et la schizophrénie.
Le groupe de Marc Dhenain (MIRCen) a développé une technique de microscopie par IRM qui permet de suivre in vivo le devenir des plaques amyloïdes sur un mode longitudinal impliquées dans la maladie d'Alzheimer. L'article publié en collaboration avec Sanofi, démontre un partenariat efficace entre le CEA et l'industrie.
Des travaux du laboratoire IMIV (SHFJ) publié dans Journal of Nuclear Medicine, suggèrent que l’hétérogénéité tumorale mesurée à partir d’images TEP in vivo reflète bien l’hétérogénéité biologique mesurée ex vivo sur les coupes histologiques.
Une équipe du Laboratoire de Biologie Structurale et Radiobiologie du SB2SM présente une étude de biologie structurale intégrative sur des protéines télomériques humaines, qu’elle a réalisée en collaboration avec le synchrotron Soleil, le SIMOPRO, et l’IRCAN (Nice).
Dans le cadre d’une vaste étude pluri-organismes à laquelle le LEMM du SPI a contribué par une approche de métabolomique (détection d’un oncométabolite), il est montré que les blastes invasifs de patients leucémiques (LAM) porteurs d’une mutation d’une enzyme clé du métabolisme (15% des malades) les rendent plus sensibles à l’action de l’acide rétinoïque. Celui-ci réactive le processus de différentiation de ces cellules tumorales permettant ainsi leur élimination.
Le groupe de Julien Valette (MIRCen/I2BM) a développé, dans le cadre d'un projet financé par le Conseil Européen de la Recherche (ERC), une stratégie pour quantifier certaines caractéristiques morphologiques des neurones et astrocytes, publiée en mai 2016 dans la revue PNAS.
Cet article est le fruit d’une collaboration entre une équipe du SIMOPRO et une équipe CNRS de Sophia Antipolis. Il vise à mieux comprendre le mode de fonctionnement d’une toxine possédant une activité anti-douleur : la mambalgine.
La protéine tau est impliquée dans des maladies neurodégénératives dites « tauopathies », qui incluent la maladie d’Alzheimer. Cette protéine est extrêmement complexe sur le plan structural (formes tronquées, nombreuses modifications post-traductionnelles, 6 isoformes). Une équipe du SPI/LEMM, en collaboration avec l’équipe du Pr Sylvain Lehmann (CHU Montpellier), propose une méthode de quantification capable de prendre en considération et mieux comprendre les modifications de tau.
Deux chercheurs de l’unité mixte CEA / Inserm / Université Paris-Sud et du Collège de France au centre de recherche en neuro-imagerie, NeuroSpin, viennent de révéler que le cerveau possède un réseau d’aires cérébrales impliqué dans les mathématiques de haut niveau comme dans les opérations arithmétiques les plus simples.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.