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Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
Des chercheurs de NeuroSpin (UNICOG) ont découvert comment le cerveau intègre et filtre les flux d'informations. En combinant des techniques d'imagerie cérébrale à haute résolution temporelle (MEG) et des algorithmes d'apprentissage automatique (machine learning), les neurobiologistes ont pu déterminer la séquence d'opérations neuronales qui permet au cerveau de sélectionner spécifiquement l'information pertinente. Ces observations sont décrites dans Nature Communications.
Un chercheur de NeuroSpin (GIN/Bordeaux) a participé à une vaste étude comprenant 20 équipes de recherche, dans le but de fournir la meilleure reconstruction possible de la connectivité anatomique du cerveau humain avec les procédures de tractographie. Les résultats de cette étude, publiés dans Nature Communications, montrent les limites de la tractographie et devraient favoriser le développement de nouveaux algorithmes.
Une équipe du SPI/LERI a récemment développé de nouveaux tests-bandelettes pour la détection de certaines bactéries multi-résistantes. Un projet d'implantation hospitalière de ces tests de dépistage ultra-rapides se déploiera en 2018 grâce à un financement de l'EIT Health.
Dans une revue récente publiée dans Science, Stanislas Dehaene (directeur de NeuroSpin, Inserm-CEA-Université Paris-Saclay) et ses collègues suggèrent que le mot « conscience » regroupe deux types différents de calculs de traitement de l'information dans le cerveau : C1, intègre l'information et la met à disposition et C2, est de type réflexif. Les machines possèdent-elles une conscience ?
L'institut Joliot (et en particulier le SPI/LERI), une équipe de l'Hôpital Bicêtre APHP-Université Paris-Sud et NG Biotech ont développé de nouveaux tests rapides pour dépister certaines formes d'antibiorésistance dans les hôpitaux.
Dans une étude menée par le Groupe d'Imagerie Neurofonctionnelle (GIN, NeuroSpin, Bordeaux), est utilisée une technique de classification par Support Vector Machine (SVM), technique d'apprentissage supervisée, qui prédit les différents patrons de dominance hémisphérique pour le langage et met en évidence l'existence de patrons très rares chez certains individus sains.
Une équipe du SHFJ (IMIV) met en évidence, grâce à un modèle préclinique d'exposition à l'alcool, une réponse neuro-immunitaire immédiate et persistante, plusieurs mois après l'exposition initiale d'alcool. Ces résultats confirment la survenue d'altérations cérébrales pouvant jouer un rôle clé dans les déficits neurologiques rapportés chez des adolescents adeptes du «binge-drinking».
Une équipe du SCBM (Institut Frédéric Joliot), en collaboration avec le SIMOPRO (Institut Frédéric Joliot), l'université de Strasbourg et la start-up Syndivia, vient de découvrir une nouvelle réaction chimique permettant à la fois de lier et de cliver des molécules dans les milieux biologiques (réaction « click and release »).
Une équipe du LSOD (I2BC@Saclay), en collaboration avec une équipe de l’Université Mar del Plata (Argentine), a pu caractériser pour la première fois une NO-Synthase de plantes. Les chercheurs ont montré que la NO-Synthase d’Ostreococcus tauri (pico plancton de l’étang de Thau) produisait de très fortes quantités de NO par rapport aux NO-Synthases humaines. Or, les plantes terrestres ne possèdent pas de NO-Synthases et le rôle biologique de cette enzyme demeure inconnu.
Pour la première fois, un modèle animal exprime les deux caractéristiques biologiques de la maladie d'Alzheimer. Des chercheurs de MIRCen (institut François Jacob), du SPI (LEMM), de l'Inserm, des universités Paris-Sud et Paris-Descartes et du CNRS ont mis au point un modèle animal qui reproduit la progression de la maladie humaine.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.