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Bienvenue sur le site web de l'institut des sciences du vivant Frédéric-Joliot ! L'institut est composé de quatre départements : l'I2BC, le DMTS, NeuroSpin et le SHFJ. Les équipes de l'institut étudient les mécanismes du vivant pour produire des connaissances et répondre à des enjeux sociétaux au cœur de la stratégie du CEA (santé et médecine du futur, transition énergétique, transition numérique).
L'institut Frédéric Joliot est composé de quatre entités de recherche
Pour mener à bien leurs travaux, les équipes de l'institut des sciences du vivant Frédéric Joliot ont développé des plateformes technologiques de premier plan dans de nombreux domaines : imagerie biomédicale, biologie structurale, métabolomique, criblage haut-débit, laboratoire de sécurité biologique de niveau 3...
Les actualités de l'Institut des sciences du vivant Frédéric Joliot
Le groupe de Julien Valette (MIRCen/I2BM) a développé, dans le cadre d'un projet financé par le Conseil Européen de la Recherche (ERC), une stratégie pour quantifier certaines caractéristiques morphologiques des neurones et astrocytes, publiée en mai 2016 dans la revue PNAS.
Cet article est le fruit d’une collaboration entre une équipe du SIMOPRO et une équipe CNRS de Sophia Antipolis. Il vise à mieux comprendre le mode de fonctionnement d’une toxine possédant une activité anti-douleur : la mambalgine.
La protéine tau est impliquée dans des maladies neurodégénératives dites « tauopathies », qui incluent la maladie d’Alzheimer. Cette protéine est extrêmement complexe sur le plan structural (formes tronquées, nombreuses modifications post-traductionnelles, 6 isoformes). Une équipe du SPI/LEMM, en collaboration avec l’équipe du Pr Sylvain Lehmann (CHU Montpellier), propose une méthode de quantification capable de prendre en considération et mieux comprendre les modifications de tau.
Deux chercheurs de l’unité mixte CEA / Inserm / Université Paris-Sud et du Collège de France au centre de recherche en neuro-imagerie, NeuroSpin, viennent de révéler que le cerveau possède un réseau d’aires cérébrales impliqué dans les mathématiques de haut niveau comme dans les opérations arithmétiques les plus simples.
Deux publications récentes du Groupe d’Imagerie Fonctionnelle (GIN) de Bordeaux, parues en mars dernier dans Neuropsychologia, ont permis d’approfondir les connaissances sur la latéralisation des hémisphères cérébraux.
Dans un système fonctionnel de tabac surexprimant l’oxydase terminale plastidiale (PTOX1) de Chlamydomonas reinhardtii, une équipe du SB2SM a montré que PTOX1 entre en compétition avec le transport d'électrons photosynthétique.
Le groupe de T. Delzescaux et de M. Dhenain (MIRCen), avec les laboratoires Sanofi et Ipsen, ont publié en février dernier, une méthodologie d'analyse de l'histologie 3D à haut débit et son application dans le cadre d'essais thérapeutiques pour la maladie d'Alzheimer.
Pour la première fois chez l’homme, une étude d’imagerie montre un rôle précoce et protecteur des cellules immunitaires du cerveau, dites « cellules microgliales », dans la maladie d’Alzheimer.
Installé en juillet 2015 au SHFJ, le nouvel appareil alliant la TEP (tomographie par émission de positons) et l'IRM (imagerie par résonnance magnétique) a donné ses premiers résultats.
L'équipe de Gilles Bonvento (UMR9199 MIRCen) a mis en évidence la progression lente des symptômes neurologiques dans un modèle de maladie de Huntinghton chez la souris de référence pour caractériser des nouvelles thérapies.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.