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Direction de la recherche fondamentale
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Une étude géomorphologique à laquelle ont participé plusieurs chercheurs du LSCE révèle les vestiges les plus anciens témoignant d’une gestion de l’eau, dès 5.900 avant J.-C., sur le site néolithique de Gadachrili Gora (Géorgie). Une crue de la rivière a emprunté ces canaux, inondant le village et entraînant l’abandon de ces infrastructures hydrauliques.
Grâce à des observations satellitaires, une équipe internationale incluant des chercheurs du LSCE révèle pour la première fois que les arbres de la savane sèche sud-africaine produisent de nouvelles feuilles un mois avant la saison des pluies et explique ce prodige naturel. Cette meilleure compréhension des relations entre cycles du carbone et de l’eau permettra d’affiner les modèles climatiques.
Trois études internationales récentes impliquant le LSCE montrent que les sécheresses et les changements d’usage des sols peuvent induire des variations significatives de la teneur atmosphérique en CO2 d’une année sur l’autre ou d’une décennie à l’autre. Ces facteurs doivent donc désormais être pris en compte dans les modèles climatiques.
Dans un projet piloté par l'Inra, des chercheurs de l'Institut François-Jacob ont participé au séquençage du génome du blé. Un exploit au vu de sa taille et de sa complexité.
Une collaboration incluant le LSCE a mis en évidence la contribution du plancton calcaire de l’Océan austral à l'augmentation du carbone atmosphérique durant la dernière déglaciation. La production accrue de squelettes calcaires a conduit à une moindre absorption du CO2 atmosphérique par les eaux de surface, favorisant l’élévation de la teneur atmosphérique en CO2.
Grâce au séquençage de plus de 246 génomes de riz africain, les chercheurs de l'Institut François-Jacob du CEA et leurs partenaires montrent que cette domestication est intervenue il y a 3 000 ans au nord du Mali.
Une collaboration impliquant le LSCE montre que l’aridification du sud-est de l’Afrique pourrait avoir joué un rôle clé dans l’extinction de l’hominidé Paranthropus robustus il y a environ 0,9 million d’années.
Grâce à l’analyse des isotopes stables du carbone, des chercheurs de l’Inra et du LSCE précisent pour la première fois la cinétique de renouvellement du carbone des sols en fonction de sa profondeur d’enfouissement et d’autres facteurs comme le climat et la gestion des terres.
L’acidification de l’Océan Pacifique Sud s’amplifie depuis la fin du 19e siècle tandis qu’augmente la teneur atmosphérique en CO2 d’origine fossile, imputable aux activités humaines. C’est le résultat d’un travail collaboratif du LSCE et d’un autre laboratoire de l’Institut Pierre-Simon Laplace (Locean) portant sur plus de trois siècles.
Grâce à la mesure du carbone 14 réalisée pour la toute première fois sur des carbonates de plomb, des chercheurs français ont pu distinguer les produits d’origine naturelle de ceux obtenus par synthèse chimique parmi des cosmétiques des Antiquités égyptienne et grecque.
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