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Direction de la recherche fondamentale
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Une équipe internationale, incluant des chercheurs du CEA-Irig, a récemment observé que la pyrénoïde des diatomées est entourée d'une membrane faite de protéines, et non de lipides comme dans la plupart des structures intracellulaires. Cette découverte offre de nouvelles perspectives sur le fonctionnement de la photosynthèse chez ces organismes microscopiques.
Des paléoclimatologues du LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) montrent qu’au cours de la dernière déglaciation, la calotte glaciaire recouvrant les mers de Barents et de Kara a reculé, non pas sous l’effet d’un océan plus chaud comme l’Antarctique de l’ouest aujourd’hui, mais sous l’effet d’une atmosphère plus chaude.
Une collaboration internationale menée par le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) propose un cadre global intégrant diverses données – informations génomiques, mesures du carbone du sol, etc. – afin d'affiner les modèles du cycle du carbone en améliorant la précision de la contribution microbienne.
A l’automne 2024, l’Espagne, la France et l’Italie ont connu des inondations d’une telle intensité que les climatologues les qualifient d’ « évènements météorologiques extrêmes ». La collaboration européenne ClimaMeter coordonnée par un chercheur du LSCE (CEA-CNRS-UVSQ), propose une analyse en établissant un lien direct avec le réchauffement climatique et certains phénomènes naturels.
En s’appuyant sur des images satellite des Alpes européennes, des chercheurs du Centre d’étude de la neige (Météo-France, CNRS) et du CEA-Irig révèlent les conditions favorisant l’efflorescence des micro-algues responsables de la coloration rouge des glaciers. Celles-ci ne devraient pas impacter significativement la fonte des neiges au cours des prochaines décennies.
La température pourrait-elle dépasser 50°C à Paris ? Un tel évènement extrême pourrait survenir d’ici la fin du siècle, dans des conditions qu’analysent les climatologues du LSCE (CEA/CNRS/UVSQ). Tout dépend du niveau d’augmentation de la température moyenne à la surface du globe et de l’occurrence de phénomènes climatiques naturels comme El Niño.
La concentration moyenne de dioxyde de carbone (CO2) dans l’atmosphère a franchi un nouveau palier à 420 parties par million. C’est ce que révèlent les mesures continues du LSCE (CEA/CNRS/UVSQ) effectuées à l’observatoire de l’Île Amsterdam dans l’hémisphère Sud.
Des chercheurs du Biam (CEA/CNRS/AMU) poursuivent leurs investigations pour décrypter les mécanismes permettant aux algues de fixer le CO2 par photosynthèse. Conduite en collaboration avec la Carnegie Institution for Science de Stanford (Etats-Unis), leur étude propose plusieurs découvertes qui mettent en lumière des voies moléculaires pourtant sous-estimées.
En 2023, l’écosystème terrestre a perdu plus de la moitié de sa capacité d’absorption du CO2 atmosphérique. Cette conclusion d’une étude internationale associant le CEA soulève des incertitudes et inquiétudes quant à la stabilité future du climat. Elle appelle à la prise urgente de mesures.
De nouvelles variations rapides des concentrations de dioxyde de carbone dans l'atmosphère au cours des 500 000 dernières années, appelées « sauts de CO2 », ont été mises en évidence par le projet Hotclim de l’IGE (CNRS/Inrae/IRD/UGA/Grenoble INP). Associant le LSCE (CEA/CNRS/UVSQ), l’étude internationale montre que ces évènements pourtant majeurs sont dix fois inférieurs au taux d’augmentation actuel des concentrations de CO2 d’origine anthropique.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.