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Direction de la recherche fondamentale
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Des chercheurs de l’Irig et leurs partenaires clarifient le rôle du dioxyde de carbone intracellulaire dans la régulation de la réponse cellulaire des microalgues photosynthétiques aux variations de lumière et de disponibilité du CO2. Leurs découvertes pourraient renforcer le potentiel biotechnologique de ces végétaux microscopiques pour une économie durable.
Objectif : neutralité carbone en 2060. Pour optimiser la transition énergétique de la Chine, une étude internationale associant le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) analyse de nombreuses pistes.
Utiliser les eaux de source de la région parisienne pour améliorer le cadre de vie, rafraîchir et verdir la ville de Paris : voici ce que recommandent les chercheurs d’un partenariat piloté par le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ), en anticipation d'éventuelles pénuries d’eau potable.
Ou quand une étude associant le LSCE permet, notamment, de constater que la part de CO2 atmosphérique a augmenté ces cinquante dernières années autant que lors des 10 000 ans de passage du glaciaire à l’interglaciaire !
Selon une étude menée par les instituts Iramis et Joliot, les microplastiques issus de nos déchets sont dispersés dans l’eau grâce à l’action de protéines adsorbées à leur surface. Cette découverte ouvre la voie à des statégies low tech pour les collecter.
Les spécialistes du LSCE rejoignent la campagne océanographique Amaryllis-Amagas qu’ils organisent avec des partenaires. Objectif : étudier le rôle de la région amazonienne dans le climat.
Les quelques 58 000 échantillons prélevés par la mission Tara Pacific parlent enfin ! Après un travail colossal de séquençage génétique et d’analyses moléculaires, impliquant plusieurs équipes du CEA, la mission fournit une base de référence inédite de la biodiversité du microbiome des récifs coralliens, encore largement sous-estimée. Grande première, elle propose également l’analyse combinée de données « omiques » et environnementales.
Une collaboration internationale menée par l’Université Cornell (États-Unis) et à laquelle participe le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) mesure pour la première fois l'importance relative des processus microbiens dans le piégeage du carbone dans le sol : ils tiennent de loin le premier rôle !
L’origine des virus est bien mystérieuse et leur classification tout un art ! Aussi, la découverte d’un nouveau groupe, par une équipe du CEA-Jacob et du CNRS dans le cadre de la mission Tara Océans, est-elle fondamentale. Baptisés mirusvirus et très abondants, ils se trouvent à la croisée de deux lignées ancestrales. Un résultat qui interroge l’évolution des virus et permettra de comprendre leur rôle majeur dans les écosystèmes.
Une équipe internationale de climatologues à laquelle participe un chercheur du LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) a étudié l’impact climatique de la variation du niveau marin dans le passé et à l’avenir. Ils montrent qu’un effet est perceptible localement pour des valeurs inférieures à un mètre mais qu’à partir de cinq mètres, l’effet sur le climat peut être global.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.