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L'Institut de recherche interdisciplinaire de Grenoble (Irig) est un institut thématique de la Direction de la Recherche Fondamentale du CEA.
Notre Institut est composé de 5 départements
Les 10 Unités Mixtes de Recherches de l'Irig
Publications, Thèses soutenues, Prix et distinctions
Une équipe internationale, incluant des chercheurs du CEA-Irig, a récemment observé que la pyrénoïde des diatomées est entourée d'une membrane faite de protéines, et non de lipides comme dans la plupart des structures intracellulaires. Cette découverte offre de nouvelles perspectives sur le fonctionnement de la photosynthèse chez ces organismes microscopiques.
Sont récompenses des prix Nobel 2024 de médecine, physique et chimie : la découverte des micro-Arn et d’un nouveau mécanisme de régulation de l’expression des gènes ; les fondements des méthodes d’apprentissage profond, machine learning ; la conception et prédiction de protéines par machine learning. Ces travaux sont ici présentés par les experts en génomique & bio-informatique, simulation numérique et biologie structurale de la DRF qui les pratiquent au quotidien.
Ce vendredi 8 novembre marque une étape importante pour la biologie structurale en France : l'inauguration du cryo-microscope électronique de pointe Titan Krios G4 à Grenoble. Il jouera un rôle essentiel dans le développement d'une recherche collaborative en biologie structurale, pour la conception de médicaments et pour la recherche biomédicale impliquant particulièrement les équipes du CEA-Irig.
En s’appuyant sur des images satellite des Alpes européennes, des chercheurs du Centre d’étude de la neige (Météo-France, CNRS) et du CEA-Irig révèlent les conditions favorisant l’efflorescence des micro-algues responsables de la coloration rouge des glaciers. Celles-ci ne devraient pas impacter significativement la fonte des neiges au cours des prochaines décennies.
Le dernier prix Nobel scientifique de l’édition 2024, celui de chimie, récompense la conception et la prédiction de protéines par intelligence artificielle. Le point avec Raphaël Guérois, Jessica Andreani et Hugues Nury, des instituts Joliot et Irig de la DRF, dont les recherches s’inscrivent dans la continuité de celles des lauréats, David Baker, Demis Hassabis et John Jumper.
Le prix Nobel de physique 2024 récompense John Hopfield et Geoffrey Hinton pour leurs travaux dans le domaine de l’intelligence artificielle. Des travaux aux fondements des méthodes d’apprentissage selon Guigone Camus et Christophe Calvin, chargés du HPC, de la simulation numérique et des données scientifiques et techniques à la DRF. Ces méthodes d’apprentissage sont d’ailleurs à la base des outils développés pour le design des protéines, récompensé par le prix Nobel 2024 de chimie.
Des chercheurs de l’Irig et leurs partenaires montrent que la microscopie électronique à transmission 4D offre une approche puissante pour sonder, à l'échelle atomique, les champs électrostatiques locaux et les paysages de potentiel de matériaux bidimensionnels tels que WSe2.
La découverte des microARN par Victor Ambros et Gary Ruvkun est récompensée par le prix Nobel de médecine 2024. Ce nouveau mécanisme de régulation de l’expression des gènes ouvre un large champ d’investigations notamment pour le diagnostic de pathologies. Des recherches présentées par Nadia Cherradi et Laurent Guyon du CEA/Irig.
Deux chercheurs du CEA-Irig sont distingués par l’Académie des sciences : Peter Reiss, spécialiste des nouveaux matériaux pour l’imagerie biologique, l’optoélectronique et le stockage de l’énergie ; et Yvain Nicolet, spécialiste de biologie structurale et particulièrement des relations structure-fonction des métalloprotéines.
Piloté par le CEA et le CNRS, le programme France 2030 Cryonext a été lancé le 08 octobre à Grenoble en présence des partenaires académiques et industriels des écosystèmes de la cryogénie et du quantique. Enjeu : développer les systèmes cryogéniques haute performance pour les technologies quantiques du futur.
Un an seulement après sa prédiction théorique, l’altermagnétisme est démontré expérimentalement dans un matériau à base de manganèse et de silicium, le Mn5Si3. Cette découverte, signée par une collaboration européenne impliquant des chercheurs du CEA-Irig, ouvre des perspectives prometteuses pour la performance des dispositifs spintroniques.
À l’aide de mesures de magnétorésistance à très basse température et très haute pression, des chercheurs de l’Irig et leurs partenaires sont parvenus à déterminer la structure de bande électronique d’origine du supraconducteur CsV3Sb5.
Chaque année, BPI France organise des concours pour récompenser les start-up ou équipes de recherche qui développent des projets innovants et porteurs de solutions sociétales. C'est le cas de trois projets de la DRF du CEA en santé, bio-énergie et micro-électronique.
Dans une cellule électrochimique utilisant un catalyseur à base de cobalt, des chercheurs de l'Irig sont parvenus à convertir sélectivement du CO2 en CO en milieu aqueux. Une production qui peut également être réalisée directement grâce à l’énergie solaire !
En collaboration avec les laboratoires Pierre Fabre Dermo-Cosmétique, des chercheurs de l’Irig étudient l’effet génotoxique de la lumière bleue et son éventuelle implication dans l’apparition de cancers de la peau.
Contre le staphylocoque doré responsable de pneumonies nosocomiales résistantes aux antibiotiques, des chercheurs de l’Irig ont étudié un traitement alternatif par des enzymes capables d’interagir avec l’enveloppe de la bactérie. Leurs travaux ouvrent la voie à des stratégies antibactériennes ciblées.
Une équipe du CEA-Irig a réalisé les études préliminaires et le cahier des charges de l’usine cryogénique qui refroidira à 2K l’accélérateur de protons Minerva et sera livrée en Belgique en 2028. Une première étape dans la réalisation de l’accélérateur destiné à piloter le réacteur nucléaire de recherche belge Myrrha, à partir de 2036.
Des physiciens du CEA-Irig et leurs partenaires ont étudié les mécanismes à l’origine de l’émission térahertz dans un système modèle composé d’un empilement de couches CoFeB-PtSe2. Leur conclusion ? Les matériaux bidimensionnels tels que PtSe2 offrent un potentiel intéressant pour des « sources spintroniques » modulables et performantes.
Des chercheurs du CEA-Irig, du CEA-Leti et leurs partenaires de l’Institut Néel (CNRS) et de l’Université de Lyon ont étudié une alternative aux LED UV pour la désinfection : les lampes à cathodoluminescence utilisant des boîtes quantiques AlGaN. Celles-ci bénéficient potentiellement d’un rendement supérieur à une longueur d’onde plus sûre pour l’homme (230 nm).
En combinant des techniques d’imagerie neutronique et X et, des chercheurs du CEA-Irig et leurs partenaires ont identifié l’origine de défauts apparaissant dans des batteries Li-ion de grande densité d’énergie. Conclusion : il faut soigner la fabrication des électrodes !
Face à l’antibiorésistance, des chercheurs du CEA-Irig étudient de nouvelles molécules naturelles comme les Ruminococcines C. Présentes dans le microbiote intestinal, elles présentent une grande stabilité, une efficacité à très faible dose ainsi qu’une faible toxicité.
Décerné par le consortium européen d’infrastructures de recherche Instruct, le prix Ivano Bertini 2024 récompense Martin Blackedge, directeur de recherche au CEA-Irig, pour ses travaux pionniers en biologie structurale intégrative.
Des biologistes du CEA-Irig et leurs partenaires ont identifié et étudié une nouvelle famille de facteurs de transcription végétaux, les protéines ALOG, ouvrant ainsi une piste de recherche inédite aux agronomes.
Des chercheurs de l’Irig adaptent des théories issues des statistiques en grande dimensionnalité pour affiner la sélection de biomarqueurs candidats en protéomique et plus largement en biologie des omiques.
L'association Française de cristallographie a décerné à Clément Atlan le prix de thèse 2024 du groupe thématique de physique. Elle récompense ainsi son travail sur des catalyseurs incontournables dans le stockage de l’hydrogène et sa conversion en électricité.
Des chercheurs de l’Irig et de la Faculté de Pharmacie de Lyon ont identifié un inhibiteur de protéine-kinase susceptible d’induire la mort programmée de cellules cancéreuses. Celui-ci pourrait faire régresser le développement tumoral chez les patients atteints de cancer.
Des chercheurs du CEA-Irig et leurs partenaires montrent qu’il est possible de déplacer des skyrmions ou nanobulles magnétiques jusqu’à 900 m/s à l’aide d’un courant électrique. Un résultat prometteur pour une informatique plus performante et sobre en énergie !
Manuel Théry, chercheur à l’Irig, est l’un des 22 lauréats du dispositif « Chaires d’excellence en biologie et santé » qui s’inscrit dans le Plan Innovation Santé 2030 du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Son projet vise à construire la première cellule artificielle capable de « polarisation » sous l’effet d’un stimulus – une propriété fondamentale des cellules animales.
Une collaboration menée par l’Irig et impliquant l’Iramis étudie les courants de spin dans des oxydes magnétiques isolants (YIG) et met en évidence un comportement non linéaire qui pourrait être utilisé à terme pour réaliser des diodes de spin, plus économes en énergie que les diodes classiques.
Spécialiste du développement floral au CEA-Irig, François Parcy publie un nouveau livre consacré à la domestication des plantes depuis les origines jusqu’aux possibilités futures.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.