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L'Institut de recherche interdisciplinaire de Grenoble (Irig) est un institut thématique de la Direction de la Recherche Fondamentale du CEA.
Notre Institut est composé de 5 départements
Les 10 Unités Mixtes de Recherches de l'Irig
Publications, Thèses soutenues, Prix et distinctions
Des équipes du CEA-Irig ont développé des outils numériques décrivant le refroidissement des bobines supraconductrices à l’intérieur d’un réacteur de fusion et ont pu sécuriser, grâce à eux, les premières campagnes expérimentales du tokamak japonais JT-60SA en 2023.
Des chercheurs du CEA-Irig et leurs partenaires ont développé une nouvelle métalloenzyme artificielle qui catalyse préférentiellement l’oxydation d’un énantiomère de thioéther (R-S-R’). Une sélectivité énantiomérique qui intéresse la biocatalyse et la synthèse de principes actifs.
Une collaboration franco-italienne impliquant le CEA-Irig a précisément caractérisé des tétraèdres d’ADN de dimension nanométrique et dévoile les mécanismes régissant l’auto-assemblage de ces nano-pyramides grâce notamment à la résonance paramagnétique électronique.
Une équipe associant l’Irig, l’UGA et le CNRS a contribué au développement d’une technique d’analyse chimique, la spectroscopie RMN couplée à la polarisation dynamique nucléaire, permettant d’observer le greffage de médicament sur des nanofibres de cellulose avec une sensibilité bien supérieure à celle des techniques conventionnelles. De quoi détecter une aiguille dans une botte de foin !
En s’appuyant sur une étude transcriptomique, une équipe de l'Irig précise la pathogenèse d’une maladie génétique rare à partir de la mutation d’un des principaux gènes impliqués.
Prometteurs pour la médecine personnalisée, les organoïdes présentent encore des verrous technologiques à lever. Parmi eux, la vascularisation nécessaire à leur développement physiologique que des chercheurs du CEA parviennent à réaliser in vitro grâce à leur plateforme microfluidique très innovante.
Des chercheurs de l’Irig ont développé une plateforme expérimentale (Helios) permettant de dimensionner plus finement les organes de sécurité destinés aux systèmes de cryo-distribution des grands instruments de recherche refroidis à moins de 4 K.
Sara Bolognesi, physicienne au CEA-Irfu, et Amaelle Landais, climatologue au LSCE (CEA/CNRS/IVSQ), se voient décerner une Médaille d’argent CNRS 2024. Quant à Rebekka Wild et Johan Decelle, biologistes au CEA-Irig, ils reçoivent une Médaille de bronze.
Co-piloté par le CEA, le CNRS et l’Inserm, le PEPR MED-OCC est lauréat de la troisième vague d’appel à projets de France 2030. Il s'inscrit dans le domaine très innovant de la médecine personnalisée via les organes et organoïdes sur puce.
En s’appuyant sur des techniques cristallographiques résolues en temps et utilisant des lasers à électrons libres, une collaboration internationale impliquant l’Irig enregistre, à toutes les échelles de temps pertinentes, le « film » moléculaire de la réparation d’une lésion de l'ADN par l’enzyme photolyase.
Des scientifiques de l’Irig ont observé, avec une résolution de 0,5 nanomètre, les interactions entre le génome du virus de la grippe et les protéines qui lui sont associées. Ils ouvrent ainsi la voie à une meilleure compréhension des mécanismes sous-tendant la réplication de ce virus à haut potentiel pandémique.
Le CEA et le CNRS ont lancé le 29 janvier à Grenoble le PEPR Spin qu’ils co-pilotent. Doté d’un financement France 2030 de 38 millions d’euros sur huit ans, ce grand programme d’envergure nationale vise des innovations spintroniques pour un numérique plus frugale, agile et durable.
Des chercheurs de l’Irig, au sein du consortium français Alpaga, dévoilent quelques-uns des secrets de la microalgue Sanguina nivaloides qui est parvenue à s’adapter à un environnement particulièrement difficile.
Le CEA et l'Université franco-vietnamienne de Sciences et technologies d’Hanoi (USTH) ont signé un Memorandum of Understanding, élargissant une collaboration fructueuse établie dans le domaine de la conversion et du stockage chimique de l’énergie.
Des chercheurs de l’Irig développent, à partir de biopsies, des avatars de tumeurs ou tumoroïdes, afin de proposer à terme des soins personnalisés pour chaque patient.
Grâce à une méthode novatrice utilisant la microscopie confocale, des chercheurs de l’Irig observent la photosynthèse à l’échelle d’une cellule unique et dévoilent la spécialisation de tissus et d’organismes, ainsi que leurs mécanismes de photoprotection.
Silvano de Franceschi, chercheur au CEA-Irig, reçoit le prix Fridel-Volterra des sociétés italienne et française de physique pour ses travaux sur le traitement de l’information quantique.
Des chercheurs de l’Irig ont développé une cellule solaire à colorant qui s’opacifie sous fort éclairement et atténue les différentes couleurs de manière homogène. Un pas de plus vers un vitrage « intelligent » !
Philippe Sabon, ingénieur au CEA-Irig, est le co-lauréat de la Médaille de cristal collectif du CNRS 2023. Cette distinction récompense sa contribution au projet Repotech qui vise à développer des outils informatiques pour le réseau de centrales de micro et nanofabrication Renatech.
Pour mesurer la masse de nanoparticules virales, des chercheurs du CEA-Irig et du CEA-Leti ont développé une technologie originale et compacte de « spectrométrie de masse », intégrant des résonateurs électromécaniques nanométriques.
Le dispositif de fusion nucléaire JT-60SA est inauguré le 1er décembre à Naka au Japon. Conçu et financé par l'Union Européenne et le Japon dans le cadre de la collaboration « Approche élargie », sa conception et sa construction ont impliqué le CEA qui s’apprête à jouer un rôle clé dans son exploitation scientifique.
Des chercheurs de l’Irig, en collaboration avec le Laboratoire de chimie des processus biologiques du Collège de France, ont développé, à partir d’une métalloprotéine appelée protéine Orange, un photocatalyseur capable de produire efficacement de l’hydrogène à partir d’eau et de lumière.
D’une pierre deux coups pour les chercheurs du CEA-Irig ! Non seulement ils valident la pertinence des organoïdes cutanés qu’ils développent, ils progressent également dans la compréhension de la physiopathologie de la variole du singe.
Des chercheurs de l’Irig et de l’Unité mixte de physique CNRS-Thales montrent comment transformer une jonction tunnel magnétique à anisotropie perpendiculaire en neurone à impulsions pour de futurs réseaux de neurones, rapides et sobres en énergie.
En collaboration avec des théoriciennes et théoriciens de l’Irig, du CNRS et de l’Université de Genève, des chercheurs de l’Université de Florence (Italie) réalisent une expérience simulant l’effet Hall quantique dans un matériau à fortes corrélations électroniques et mettent en lumière un résultat théorique difficilement accessible aux calculateurs classiques.
En étudiant la commutation à très basse température d’une protéine fluorescente, des chercheurs de l’Irig et leurs partenaires améliorent les performances d’un cryo-microscope à super-résolution qu’ils mettent à la disposition de la communauté scientifique.
Catherine Llorens-Cortes reçoit la médaille des Applications des sciences et François David la médaille de Physique de l’Académie des sciences. Renaud Demadrille, Frédéric Taran et François Ladieu, sont quant à eux lauréats de trois prix de la même institution.
Jérôme Boisbouvier, chercheur de l’Institut de Biologie Structurale au CEA-Irig, obtient un 3e prestigieux contrat ERC. Lors de son nouveau projet XXL-NMR, il développera de nouvelles voies pour étudier les assemblages biomoléculaires par RMN en solution.
Des chercheurs du CEA-Irig et du synchrotron européen ESRF découvrent de nouveaux mécanismes participant au métabolisme des nanoparticules d’argent, un biocide auquel nous sommes exposés dans notre quotidien.
Des physiciens de l’Irig et leurs partenaires ont caractérisé un empilement de deux feuillets de graphène dont l’un seulement est soumis à une contrainte mécanique bi-axiale. Ils mettent ainsi en évidence des états électroniques d’intérêt, similaires à ceux produits par deux feuillets dont l’un est tourné par rapport à l’autre.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.