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Direction de la recherche fondamentale
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Une équipe du CEA-IRTSV a observé l’effet de l’uranium sur l’activité des cellules racinaires chez une plante modèle. Un premier pas vers la compréhension des mécanismes impliqués dans la phytoremédiation des sols contaminés.
Un consortium français a séquencé et analysé le génome de la truite arc-en-ciel (Oncorhynchus mykiss). Le résultat, publié le 22 avril, remet en cause une hypothèse classique en génétique.
Cribler les bactéries plus vite que son ombre ? Oui, c’est maintenant possible grâce à la spectrométrie de masse ! Des chercheurs du CEA-IBEB viennent de faire la preuve de concept d’une nouvelle méthode, basée sur des biomarqueurs protéiques universels, qui pourrait intéresser les industriels de la « chimie verte ».
Un nouveau type de virus géant, baptisé « Pithovirus », a été découvert dans le sol gelé de l’extrême Nord-Est sibérien par des chercheurs du CNRS/Aix-Marseille Université, du CEA-IRTVS, du CEA-IG et de l'Académie des sciences de Russie. Enfoui dans le sol, ce virus géant, inoffensif pour l'Homme et les animaux, a survécu à plus de 30 000 ans de congélation.
Des chercheurs CEA-IBEB, à Cadarache, et de la Faculté de Pharmacie, à Illkirch, ont développé un outil pour contrôler les variations du phosphate intracellulaire. Les recherches sur la régulation de cet élément minéral fondamental chez les êtres vivants pourraient notamment trouver des débouchés dans le secteur agronomique.
La vedette : Sphingomonas wittichii. Son exploit ? Dégrader des polluants largement disséminés dans notre environnement, les dioxines. Des chercheurs du CEA-IBEB, à Marcoule, ont ausculté cette bactérie et mis en évidence tout l’arsenal enzymatique déployé pour dégrader ces composés aromatiques hautement toxiques. Cette étude ouvre de belles perspectives dans le domaine de la dépollution.
Un consortium international dirigé par des chercheurs du CEA-IBEB, en collaboration avec le CNRS, vient de caractériser la structure et la fonction d’une protéine impliquée dans la production de nano-aimants de magnétite chez les bactéries dites magnétotactiques. Ce résultat, paru dans la revue Nature, a fait l'objet d'un communiqué de presse.
Du nouveau en chimie verte. Des chercheurs du CEA-IRTSV et de l’IBS ont développé une méthode de construction de catalyseurs stables et originaux : des métalloenzymes. A terme, ces travaux permettront à l’industrie pharmaceutique de proposer une alternative à la catalyse chimique et à la biocatalyse par des procédés plus efficaces et respectueux de l’environnement.
De nombreux procédés industriels d’oxydation nécessitent des oxydants puissants tel le peroxyde d’hydrogène (ou eau oxygénée). Afin de s’en affranchir et réaliser l’oxydation à partir de l’oxygène de l’air, les chercheurs du CEA-IBITECS et de l’ICMMO mettent au point une approche biomimétique : une oxydation photo-assistée pour oxyder plus proprement.
Les bactéries magnétotactiques, du fait de leur capacité à s’aimanter, affichent un potentiel d’application en imagerie médicale et en dépollution. Afin de développer ce potentiel, les chercheurs du CEA-iBEB dessinent leurs cartes génétiques.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.