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Direction de la recherche fondamentale
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Des chercheurs de l’Iramis, du CEA-Liten et leurs partenaires nantais montrent qu’il est possible de de sélectionner rapidement le meilleur électrolyte d’une batterie lithium-ion par irradiation gamma. La production de dihydrogène constitue alors un marqueur de performance de l’électrolyte.
Dans le cadre de l’initiative Carbon Monitor, des scientifiques le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) ont participé, depuis janvier 2016, à la construction d’une banque de données sur la production d'électricité à travers le monde, en temps quasi réel.
Sur la base d’expériences dans le tokamak européen JET, des physiciens de l’IRFM et leurs partenaires montrent que la présence accrue d’ions de deutérium très énergétiques améliore la stabilité du plasma de fusion. Le plasma d’ITER devrait bénéficier d’un effet analogue, grâce aux noyaux d’hélium produits par la fusion.
Des chercheurs du CEA-Irig ont étudié par diffractions de rayons X la microstructure de couches minces d’une pérovskite hybride halogénée (MAPbI3) utilisée pour le photovoltaïque. Leurs travaux ouvrent la voie à la maîtrise de leur état de contrainte et de leur texture cristallographique et en conséquence, à une stabilité accrue de leurs performances au cours du temps.
Des chercheurs du CEA-Irig et leurs partenaires vietnamiens ont développé une feuille artificielle capable de convertir l’énergie solaire en hydrogène avec un rendement de 2 %. Un premier succès plein de promesses !
Une équipe du CEA-Irig a conçu et réalisé un banc d’essai de formation et d’accélération de glaçons centimétriques pour le démonstrateur de fusion ITER, en construction à Cadarache. Ces glaçons sont destinés à protéger le tokamak en cas de très fortes instabilités du plasma de fusion (disruptions).
Une collaboration internationale, à laquelle ont participé des chercheurs du CEA (BIAM) et la Carnegie Institution de Stanford (États-Unis), vient de décrypter les mécanismes par lesquels les microalgues capturent le CO2 atmosphérique de manière extrêmement efficace.
En s’appuyant sur des techniques avancées de nanocaractérisation, des chercheurs du CEA-Irig, en collaboration avec le CEA-Liten et le CEA-Joliot, ont développé une anode à catalyseur moléculaire au nickel dont l’efficacité se rapproche de celles d’électrodes utilisant du platine.
Les scientifiques du consortium EUROfusion ont enregistré la production de 59 mégajoules d’énergie de fusion pendant plusieurs secondes dans le seul tokamak opérationnel au monde utilisant du deutérium et du tritium : le Joint European Torus (JET) au Royaume Uni. Ils sont parvenus à piloter le plasma de fusion conformément à leurs simulations dans un environnement proche de celui d’ITER. Une démonstration éclatante qui conforte à la fois le projet ITER et le potentiel de l’énergie de fusion !
Selon une collaboration coordonnée par le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ), il est nécessaire de prendre en compte les effets biophysiques de cultures bioénergétiques (avec capture et séquestration de CO2) pour évaluer correctement leur efficacité dans la lutte contre le changement climatique.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.