Pour accéder à toutes les fonctionnalités de ce site, vous devez activer JavaScript. Voici les instructions pour activer JavaScript dans votre navigateur Web.
Direction de la recherche fondamentale
Présentation de la Direction de la recherche fondamentale
Retrouvez toutes les ressources multimédia de la DRF
Vous voulez participer au développement de la recherche dans le domaine de la santé, des bioénergies, des énergies,de la physique, de la chimie, des sciences du vivant ? Vous souhaitez un parcours professionnel motivant dans une communauté scientifique pluridisciplinaire ? Rejoignez les équipes de la DRF, ouvertes à la fois sur la recherche internationale et le monde industriel.
Au sein d’un laboratoire commun, des chercheurs du CEA (Iramis, Directions des énergies et de la recherche technologique) et de l’université NTU de Singapour développent des procédés innovants favorisant l’économie circulaire dans le secteur de l’électronique.
Des chercheurs du LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) et leurs partenaires révèlent une forte variation du champ magnétique terrestre grâce à de nouvelles données du premier millénaire avant J.-C. en France et en Italie. Cette découverte permet à la fois de progresser dans la connaissance de la dynamo terrestre et d’améliorer un outil de datation utilisé en archéologie et paléoenvironnement.
Une collaboration internationale coordonnée par le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) propose une chronologie consolidée des principaux sites archéologiques des plateaux bordant la moyenne vallée du Rhône, entre 300 000 et 40 000 ans. Celle-ci ouvre la voie à une meilleure compréhension des peuplements humains du Paléolithique moyen dans cette région et de leur culture.
Des chercheurs de l'Irig décrivent pour la première fois les voies d’entrée de l’uranium dans deux organismes eucaryotes modèles. Ces expériences ouvrent la voie à l’identification simple et rapide de transporteurs d'uranium d'organismes pluricellulaires complexes.
Selon une collaboration coordonnée par le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ), il est nécessaire de prendre en compte les effets biophysiques de cultures bioénergétiques (avec capture et séquestration de CO2) pour évaluer correctement leur efficacité dans la lutte contre le changement climatique.
Le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) et le laboratoire EDYTEM (CNRS-Université Savoie-Mont-Blanc-Ministère de la Culture) ont établi une synthèse globale des retombées en césium 137 observées dans les archives sédimentaires à travers le monde. Cette base de données permet d’améliorer la datation des carottes sédimentaires.
En s’appuyant sur des analyses de la carotte glaciaire Epica Dome C, une collaboration franco-italienne impliquant le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) met en évidence une désynchronisation des températures maximales en Antarctique et dans l’océan Austral au cours de certains interglaciaires. Ce phénomène s’explique par un déplacement des régions d’évaporation vers les hautes latitudes lors des déglaciations rapides.
Des chercheurs du CEA-Irig et leurs partenaires proposent des biocides à façon, associant nanoparticules d’argent et cellulose. Résultat : une efficacité optimisée et une économie des atomes métalliques minimisant les effets toxiques et écotoxiques.
En collaboration avec l’Ifremer (Brest) et l’Institut de physique du globe de Paris, quatre scientifiques du LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) ont participé en mai 2021 à la campagne GéoFLAMME, à bord du navire océanographique Pourquoi pas ?. Objectif : étudier un volcan sous-marin en cours d’édification à 3400 m de fond, au large de Mayotte.
Des scientifiques de l’Université Paris-Saclay, dont certains du LSCE (CEA-CNRS-UVSQ), participent à des missions sur le terrain depuis 2012, afin de mieux cerner les conséquences hydrologiques du dégel du pergélisol, dans une région de forêt boréale iakoute.
Haut de page
Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.