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Direction de la recherche fondamentale
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Dans une étude publiée par Nature Astronomy, la toute nouvelle revue du Groupe Nature consacrée aux sciences de l'Univers, une équipe internationale à laquelle participe l’Irfu dévoile enfin pourquoi notre galaxie se déplace à 630 km/s.
Des chercheurs de l’Inac ont réalisé un dispositif original de cartographie de champ magnétique à l’échelle micronique, quantitatif et en temps réel. Son principe consiste à observer la déformation d’un champ de minces « nanorubans » magnétiques qui réfléchissent la lumière.
Des chercheurs du CEA-BIG ont développé une méthode d’analyse sensible permettant de détecter dans un mélange alimentaire 8 toxines bactériennes potentiellement impliquées dans le domaine des risques NRBC[1].
Le bruit électronique d’un appareil de RMN est modulé par les spins nucléaires d’un échantillon disposé dans la bobine de détection. Des chercheurs de l’Iramis ont réussi à construire un modèle analytique interprétant ce signal RMN de « bruit de spin ». Cette approche nouvelle permet de mesurer des effets isotopiques ténus et offre à la RMN un gain en sensibilité « spectroscopique » spectaculaire.
Une collaboration internationale a découvert que de grandes populations bactériennes en solution peuvent s’animer spontanément en mouvements collectifs oscillants. Un théoricien de l’Iramis montre que cette observation illustre un nouvel ordre à longue portée émergeant de couplages locaux entre cellules voisines. Une avancée qui pourrait faire progresser la robotique en essaim ou la bio-ingénierie des tissus !
Des chercheurs de l’Inra, du CEA-Inac et leurs partenaires ont étudié les effets d’une exposition orale au dioxyde de titane, un additif alimentaire (E171) utilisé de façon courante, en confiserie notamment. Ils montrent pour la première fois chez l’animal que le E171 pénètre la paroi de l’intestin, se retrouve dans l’organisme, peut créer des troubles du système immunitaire et induire des lésions pré-cancéreuses dans le côlon.
La bactériorhodopsine est une protéine qui transporte des protons à travers les membranes cellulaires, une fonction essentielle des systèmes biologiques. Un consortium international incluant l’IBS a « filmé » ce transfert de protons.
Le déficit en lithium observé dans l’Univers primordial ne s’explique pas par la méconnaissance d’une réaction nucléaire impliquant le béryllium 7. Dans une expérience réalisée au Cern, une collaboration incluant l’Irfu a caractérisé avec une précision inégalée la capture de neutron par 7Be, une réaction qui intéresse non seulement la nucléosynthèse primordiale mais aussi la technologie nucléaire.
Pour Julie Poulain, chercheuse au CEA-IG, l’aventure TARA Pacific se termine. Elle passe le flambeau aux bio-informaticiens du Genoscope.
Les écosystèmes terrestres absorbent actuellement près d’un quart du dioxyde de carbone atmosphérique d’origine anthropique. Comment répondront-ils au changement climatique ? Une étude menée par le Max Planck Institut de Jena (Allemagne), et à laquelle participent des chercheurs du LSCE, apporte un nouvel éclairage sur cette question.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.