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Direction de la recherche fondamentale
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Des chercheurs du CEA-Irig, du CNRS et de l’UGA ont développé des complexes bio-inspirés actifs contre le stress oxydant. Leurs travaux permettent de préciser le fonctionnement de l’enzyme naturelle et ouvrent la voie à la conception de molécules thérapeutiques contre des pathologies telles que les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin.
Deux chercheurs du CEA-Joliot (NeuroSpin) montrent qu’un modèle de réseaux de neurones « récurrents », biologiquement plausible, permettrait de faire des prédictions simples et efficaces, comme notre cerveau.
Les chercheurs de l'Irig, en collaboration avec le CEA-Leti, ont développé une puce microfluidique permettant de mesurer la sécrétion d'insuline d'un seul îlot pancréatique. Une technologie qui peut s’adapter à d’autres tissus biologiques et sécrétomes.
Des chercheurs du CEA-Jacob étudient la régulation de la réparation des cassures doubles brins d’ADN dans l’hétérochromatine, chez la levure : la protéine Sir3 assure l’aiguillage entre deux voies de réparation.
En utilisant les données de la cohorte UK Biobank (la plus grande en population générale pour l’imagerie cérébrale et la génétique), une collaboration menée par le CEA-Joliot (NeuroSpin) a identifié des gènes impliqués dans la connectivité cérébrale du langage. Des gènes à étudier en priorité pour en savoir plus sur cette faculté complexe.
Une collaboration internationale impliquant le CEA-Joliot (NeuroSpin) et NeuroPSI (CNRS, Université Paris Saclay) démontre que l'animal, comme l’être humain, est capable d’apprécier avec précision la durée de son action.
En exploitant des données de la cohorte Healthy Brain Network, une équipe du CEA-Joliot (NeuroSpin) révèle une corrélation entre certains symptômes, possibles prémices de troubles de l'humeur à l'âge adulte, et des changements structurels du cerveau en développement chez plus de 650 jeunes.
Grâce à des simulations d’interactions protéine-protéine, des chercheurs du CEA-Joliot (I2BC) et leurs partenaires sont parvenus à identifier les mécanismes moléculaires qui coordonnent l’appariement et la recombinaison des chromosomes homologues durant la méiose.
Une collaboration internationale incluant le CEA-Jacob (Genoscope) révèle une biodiversité massive et inconnue dans les abysses et ses relations complexes avec le plancton. Une clé pour comprendre la « pompe à carbone biologique » de l’océan.
Une étude conduite par le CEA-Joliot (I2BC) révèle, grâce à la cryomicroscopie électronique, la complexité structurale insoupçonnée de nanotubes de lanréotide, un médicament utilisé dans le traitement de l’acromégalie, une maladie due à une hypersécrétion d'hormone de croissance, et de certains cancers neuro-endocriniens.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.