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Direction de la recherche fondamentale
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En s’appuyant sur des observations, une collaboration internationale impliquant le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) montre que l’assèchement de l'air ne réduit pas la photosynthèse dans les régions très humides de la forêt amazonienne. Une affirmation contredite par les modèles climatiques.
En s’appuyant sur les signatures isotopiques du plomb, le groupe Métal du Chantier Notre-Dame, qui comptent des chercheurs du LSCE (CEA-CNRS-UVSQ), révèle que l’incendie de Notre-Dame a relâché ce métal dans l’atmosphère, provoquant, le jour même, un pic de pollution ponctuel, atteignant jusqu’à cent fois la valeur habituelle.
En s’appuyant sur des simulations numériques, des chercheurs du LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) et leurs partenaires révèlent que l’atmosphère n’est pas la seule responsable des fluctuations du puits de carbone océanique. L’océan lui-même ajoute une touche « chaotique » qui peut devenir prédominante, comme autour de l’Antarctique.
Des chercheurs de l’IPhT proposent une nouvelle équation décrivant la population des villes qui embrasse pour la première fois l’ensemble des observations des économistes, des géographes et des historiens.
Une collaboration impliquant le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) avertit que l’oxyde nitreux provenant de l'agriculture et d'autres sources s'accumule dans l'atmosphère rapidement et dépasse d’ores et déjà le niveau prédit par les scénarios du Giec conduisant à un réchauffement global supérieur à 3°C en 2100. Il est urgent d’agir !
Pour la première fois, une collaboration internationale impliquant le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) a quantifié la teneur atmosphérique en méthane dans un climat chaud de la fin du Tertiaire, il y a 2-5 millions d’années, en s’appuyant sur la simulation numérique. Cette période chaude connaissait la même teneur atmosphérique en CO2 qu’aujourd’hui.
Lancé en 2010, le programme de recherche Mistrals consacré à l’environnement méditerranéen est arrivé à son terme. Dans ce cadre, le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) a coordonné le projet Charmex (chimie des aérosols) et co-coordonné l’axe transverse « Pollution et contaminants ». Des chercheurs du LSCE ont également contribué à Mermex (environnement marin) et Hymex (hydrologie).
Le changement climatique a déjà modifié la phénologie des plantes sauvages et des cultures. Des chercheurs du CEA-Irig font la lumière sur les mécanismes par lesquels les plantes perçoivent la température.
Une campagne lidar à bord d’un ULM, couplée à des mesures au sol, conduit des chercheurs du LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) à pondérer certaines interprétations de mesures lidar depuis l’espace.
Une équipe internationale impliquant le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) publie une évaluation des émissions de CO2 par l'industrie, les transports et d'autres secteurs de janvier à juin 2020. Les mesures de confinement liées à la pandémie ont entraîné une baisse de 9 % des émissions sur cette période par rapport à 2019.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.