Avec une verve poétique, Pauline Agou raconte comment tromper la vigilance des « gardiens » de la barrière hémato-encéphalique : une choré jazzy, mais pas trop débridée quand même, tient lieu de sésame. La boîte crânienne devient boîte de nuit, les danseurs sont des bulles dans la circulation sanguine, agitées par des ondes ultrasonores. Le ballet bien réglé permet de faire pénétrer les médicaments dans le cerveau mais tout excès, pouvant conduire à une hémorragie, est à proscrire …
Dans la vidéo ci-dessous, Pauline Agou revient sur son parcours et sur son expérience de Ma thèse en 180 secondes.
La thèse en 180 secondes Pauline Agou