La question a mobilisé pendant trois ans un thésard du CEA-Leti, avec des chercheurs du Gipsa-Lab et du laboratoire de psychologie et de neurocognition de l'UGA. Ils ont abouti à une méthode aussi performante que l'état de l'art, basée sur des algorithmes plus robustes que ceux des « boîtes noires ». Trois brevets ont été déposés.
La détection du stress s'appuie sur des capteurs grand public qui suivent la température, les pulsations cardiaques, la respiration, les mouvements et la sudation. Les applications visées : prévention des risques psychosociaux et du stress chronique, formations à la gestion du stress, entraînement de pilotes, pompiers, militaires, etc.
Source : Minanews