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Organisme partenaire de l'Université Paris-Saclay
Le centre CEA Paris-Saclay rassemble près de 7 000 personnes sur plusieurs sites géographiques proches de Paris, au sud et au sud-ouest de la région Île-de France. Créé en février 2017, le CEA Paris-Saclay regroupe des sites historiques du CEA, Fontenay-aux-Roses et Saclay, et des sites plus récents (Évry). Plusieurs équipes de recherche du CEA Paris-Saclay travaillent au sein d’établissements du CNRS, des universités d’Orsay, Paris ou encore de Caen. Le CEA Paris-Saclay est l’un des neufs centres du CEA, établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC) sous tutelles du Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (MESRI), Ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie ou bien encore du Ministère de l’économie et des finances.
Toutes les dernières actualités scientifiques et institutionnelles des instituts du centre CEA Paris-Saclay.
Appel d'offres du CEA Paris-Saclay
Consultez les plans d'accès de nos établissements de Saclay, Fontenay-aux-Roses et Evry.
Actualité
Des chercheurs du CEA-Jacob (MIRCen) ont développé une nouvelle méthode utilisant le séquençage de dernière génération, qui permet de distinguer plusieurs maladies neurodégénératives caractérisées par des anomalies de l’α-synucléine.
L’Université Paris-Saclay, le CEA, l’AP-HP, l’Inserm et leurs partenaires académiques, associatifs et industriels, ont organisé le 17 septembre une matinée de lancement de l’Institut hospitalo-universitaire (IHU) Prometheus, lauréat de la vague 2023 de cet appel à projets opéré pour le compte de l’État par l’Agence nationale de la recherche (ANR). Financé dans le cadre de France 2030 à hauteur de 40 M€, l’IHU Prometheus s’est fixé pour ambition de réduire de moitié, dans les dix ans, la mortalité et les séquelles causées par le sepsis.
En étudiant un relevé de nuages moléculaires effectué à l’aide du télescope APEX (Chili), une collaboration dirigée par le CEA-Irfu révèle que le taux de formation d’étoiles ne dépend pas de la densité de gaz, au-dessus d’un certain seuil.
Une équipe du CEA-Joliot, avec le CEA-Jacob et l’Université d’Edimbourg, décortique le fonctionnement d’un complexe protéique, BAF, dont les mutations sont présentes dans 20% des cas de cancers humains. Elle découvre comment il régule l’accessibilité du génome en produisant des particules subnucléosomales.
Une équipe du CEA-Joliot a mis au point une méthode d’échange isotopique du soufre pour le marquage de molécules biologiquement actives. Le procédé également applicable au carbone et à l’hydrogène ouvre par ailleurs la voie à un « cryptage isotopique » de composés organiques de valeur afin de garantir leur authenticité.
Le bilan mondial de méthane 2024 livré le 10 septembre 2024, dans le cadre du Global Carbon Project (GCP), montre que les activités humaines ont émis un record de 400 millions de tonnes métriques de méthane en 2020 et contribuent désormais aux deux tiers des émissions mondiales de méthane. Une équipe de climatologues de plusieurs laboratoires, dont le LSCE (Laboratoire des Sciences du Climat et de l'Environnement ; CEA/CNRS/UVSQ) souligne les points clefs du bilan.
Une équipe du CEA-Irfu a developpé la plateforme en accès libre Tilepy qui permet d’optimiser les observations de sources cosmiques de haute énergie. Celle-ci a d’ores et déjà été adoptée par les observatoires gamma à imagerie Tcherenkov H.E.S.S. (Namibie) et CTA/LST-1 (Canaries).
En à peine 10 ans, les changements d’usage des sols ont entrainé une forte dégradation de la ressource en sol et en eau sur l’île de Mayotte. En cause, la forte pression démographique sur l’environnement tel que l’analysent des chercheurs du LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) et du BRGM.
Bien qu’interdite depuis trente ans, la chlordécone demeure présente dans l’environnement. Or il est très compliqué de suivre cet insecticide et ses produits de transformation afin d’anticiper l’évolution de sa pollution. Des chercheurs du CEA-Jacob proposent une nouvelle approche analytique qui a permis de détecter des dérivés jusqu’alors non détectables.
Des chercheurs du CEA-Joliot (I2BC) et de l’ICMMO élucident le mystère des excellentes performances de leur catalyseur bio-inspiré, une porphyrine à fer modifiée par des groupements urée, pour réduire du CO2 en CO. Une piste prometteuse pour valoriser industriellement un déchet en excès dans l’atmosphère !
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.