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Organisme partenaire de l'Université Paris-Saclay
Le centre CEA Paris-Saclay rassemble près de 7 000 personnes sur plusieurs sites géographiques proches de Paris, au sud et au sud-ouest de la région Île-de France. Créé en février 2017, le CEA Paris-Saclay regroupe des sites historiques du CEA, Fontenay-aux-Roses et Saclay, et des sites plus récents (Évry). Plusieurs équipes de recherche du CEA Paris-Saclay travaillent au sein d’établissements du CNRS, des universités d’Orsay, Paris ou encore de Caen. Le CEA Paris-Saclay est l’un des neufs centres du CEA, établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC) sous tutelles du Ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (MESRI), Ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie ou bien encore du Ministère de l’économie et des finances.
Toutes les dernières actualités scientifiques et institutionnelles des instituts du centre CEA Paris-Saclay.
Appel d'offres du CEA Paris-Saclay
Consultez les plans d'accès de nos établissements de Saclay, Fontenay-aux-Roses et Evry.
Actualité
Une collaboration internationale impliquant le CEA-Iramis est parvenue à intriquer un électron et un atome « habillé » de photons, grâce à des impulsions laser UV-X, ultra-brèves et très intenses produites à l'aide d'un laser à électrons libres.
En combinant données fonctionnelles et simulation numérique, des chercheurs du CEA-Jacob esquissent une nouvelle représentation de la régulation du caractère de cellule souche des kératinocytes, ouvrant la voie à de nouvelles recherches thérapeutiques.
Des chercheurs du CEA-Joliot, en collaboration le CEA-Jacob, révèlent un mécanisme de tolérance au facteur VIII, une protéine essentielle à la coagulation sanguine et qui est déficiente chez les patients atteints d’hémophilie A.
Dans la perspective d’un stockage d’informations à haute densité et sobre en énergie, des chercheurs de l’Iramis et leurs partenaires sont parvenus à commuter, à l’aide d’un couplage magnétoélectrique, des « bulles magnétiques » ou skyrmions, dans des nanostructures multiferroïques de ferrite de bismuth (BiFeO3).
Des chercheurs de l’Institut Joliot (I2BC), en collaboration avec l'Institut Curie et le synchrotron Soleil (HelioBio), montrent que le facteur CAF-1 combine, dans son organisation spatiale, des régions flexibles et des modules rigides qui favorisent la qualité des marques épigénétiques portées par la chromatine et optimisent la synthèse de l'ADN.
Samedi 22 juin 2024, 15h : le satellite Svom a été lancé avec succès depuis la base de Xichang en Chine par un lanceur chinois Longue Marche 2C. Fruit d’une collaboration des deux agences spatiales nationales, CNSA et Cnes, la mission dédiée à l’étude des sursauts gamma associe étroitement le CEA-Irfu.
Des chercheurs du LSCE ont développé un système de suivi plus agile de la pression partielle de CO2 au-dessus de l’océan de surface, grâce auquel ils peuvent interpréter l’évolution des concentrations de CO2 au fil de l’eau.
Des physiciens de l’IPhT et de l’Irfu et leurs partenaires proposent des mesures qui permettront de sonder, à partir de 2030, les premiers instants du plasma de quarks et de gluons produit au Cern par des collisions de noyaux de plomb du LHC.
Des chercheurs de l’Iramis et leurs partenaires suisses soulignent l'importance, dans une interface bidimensionnelle conductrice, d’effets « orbitalaires » qui participent à la conversion en courant de charges d’un courant polarisé en spin et porteur d'un moment angulaire. Une voie très efficace, à exploiter en spintronique !
Les physiciens du CEA-Irfu améliorent la puce électronique de leur caméra Nectarcam, dont les répliques sont destinées à équiper des télescopes de l‘observatoire CTAO consacré à la détection gamma des évènements cosmiques les plus violents de l’Univers
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.