BRCA2 est l’un des gènes de prédisposition aux cancers du sein et de l’ovaire. Jusqu’ici, on impute principalement cette prédisposition à la fonction dans la réparation de l’ADN de la protéine codée par le gène BRCA2. Et si une autre fonction de BRCA2 était responsable ou coresponsable de ce mécanisme physiopathologique ?
En partenariat avec l'Institut Curie, des chercheurs du CEA-Joliot (I2BC) ont montré que trois mutations trouvées chez des patients sont responsables d'anomalies lors de la division cellulaire et en ont disséqué ces mécanismes.