« Cette performance témoigne du dynamisme de la politique de protection intellectuelle du CEA, au service de la compétitivité des entreprises et de la souveraineté économique » souligne Marie-Astrid Ravon-Berenguer, secrétaire générale du CEA.
Microélectronique, nouvelles technologies de l'énergie, instrumentation, santé... le CEA est aujourd'hui fort de plus de 7 700 familles de brevets actives et d'environ 700 nouvelles inventions protégées en France par an.
« Les brevets de son portefeuille sont étendus au cas par cas, en Europe et au-delà, en tenant compte notamment des perspectives d’exploitation des industriels » précise-t-elle.
L'OEB prend lui en compte toutes les demandes de brevet déposées (ou étendues) en Europe en 2023, quelle que soit l'entreprise déposante.
Dans ce classement dominé par les multinationales des technologies de l'information et de la communication, le CEA, 39e, est premier organisme de recherche européen devant la Fraunhofer-Gesellschaft et deuxième déposant français après Valeo.
Le CEA est également le premier organisme français dans le top 100 mondial des innovateurs Clarivate.