Ce composé, testé sur un modèle de cancer du sein, pénètre facilement les membranes et s’accumule dans le réticulum endoplasmique (RE dans la Figure) où il est oxydé. Les métabolites générés vont ensuite simultanément attaquer différentes parties de la cellule, menant à l'activité anticancéreuse.
Cartographie par fluorescence excitée par rayonnement synchrotron de la distribution du potassium, élément physiologique essentiel de la cellule (K, rose) et, de l’osmium (Os, vert), élément constitutif du dérivé osmocénique de l’hydroxytamoxifène, au sein de cellules de cancer du sein type triple négatif.
Ces résultats sont prometteurs car cette nouvelle famille de composés organométalliques pourrait devenir une alternative dans l’arsenal de chimiothérapie classique, notamment dans le but de surmonter la résistance aux médicaments actuels tout en présentant un faible coût.
Ces résultats ont fait l’objet d’un communiqué de presse.