Pour dépasser les limites de stockage de l'information et de consommation énergétique de l’électronique classique, des quasi-particules ont le vent en poupe : les skyrmions. Une nouvelle étude conduite par des chercheurs du CEA-Irig révèle le déplacement de ces nanobulles magnétiques à des vitesses jamais égalées, laissant entrevoir de possibles applications, notamment pour des mémoires numériques.