Les chercheurs du laboratoire Chimie et Biologie des Métaux travaillent sur des métalloenzymes artificielles dont l'une est un hydride constitué de la protéine NikA et de complexes de fer ou de ruthénium. Dans le but d'en améliorer les propriétés, ils sont parvenus à stabiliser les cristaux de NikA par réticulation. Le catalyseur hybride solide résultant permet la stabilisation du site catalytique artificiel au sein du cristal de protéine.