Dans ce numéro, un dossier sur la mobilité électrique qui peut compter sur CEA Tech pour accompagner les constructeurs à la pointe de l’innovation sur les matériaux, les systèmes, l’intelligence embarquée, les essais en situations réelles… Au sommaire également, le décryptage de l’ADN du blé, la modélisation du cœur d’Astrid, le développement d’un protocole de détection ultrasensible de nanotubes in vivo,...
coup de projecteur
Traque aux composés organiques volatils dans la canopée provençale
© CEA - Chambre dynamique pour connaître l’émission d’isoprène d’une branche. Au sein de la forêt de chênes blancs de l’Observatoire de Haute Provence, des chercheurs du LSCE étudient les flux de composés organiques volatils, dans le cadre du projet CANOPEE. Leurs résultats contribueront à affiner les modèles climatiques actuels, dans lesquels ces molécules, précurseurs de l’ozone, jouent un rôle important.
à la pointe
Les résultats scientifiques du mois
Solution pour rendre l’oxyde de graphène conducteur localement, nouvelle séquence de référence du blé tendre, nouveaux développements d'Appolo3 pour la modélisation du cœur d’Astrid, méthode de détection ultrasensible de nanotubes in vivo, analyse du métagénome du microbiote intestinal.
grand angle
L’électrique, tout véhicule !
© A.Chilton/CEA - Installé sur le showroom de Minatec sur le centre CEA de Grenoble, ce véhicule électrique permet de présenter aux industriels l’offre CEA Tech sur les transports électriques et leur gestion énergétique intelligente. Stabiliser les émissions de gaz à effet de serre, lutter contre les
pollutions urbaines...Ces éléments stratégiques font de la mobilité
électrique un impératif. Certes, la voiture électrique n’a pas encore
envahi les marchés, mais il n’empêche, sur route, sur mer ou dans les
airs, l’électricité trace son chemin. Et elle peut compter sur les
spécialistes de CEA Tech pour accompagner les constructeurs …
tout s’explique
La datation par le carbone 14
© Infographie : David Torondel - Textes : Nicolas Tilly et Céline Lipari La datation par le carbone 14 permet d’estimer l’âge de vestiges
archéologiques, peintures rupestres, sédiments… Son principe : utiliser
les propriétés de décroissance radioactive de l’isotope 14C, atome
présent dans toute matière organique et dans les carbonates. Cette
technique est utilisée pour dater des objets de quelques centaines
d’années à 50 000 ans environ.