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Direction de la recherche fondamentale
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Des chercheurs de l’Irfu valident le principe d’une nouvelle calibration bolométrique utilisant des neutrons lents dits thermiques. Celle-ci est parfaitement adaptée à la détection de neutrinos par mesure du « recul » de noyaux de tungstène, qui sera prochainement mise en œuvre à l’Irfu.
En s’appuyant sur des expériences de diffusion de neutrons, des chercheurs du CEA-Iramis (LLB) et leurs partenaires ont mis en évidence un nouvel état magnétique octupolaire dans un oxyde de zirconium et de néodyme Nd2Zr2O7 à très basse température.
Des chercheurs du CEA-Jacob (Genoscope) et du Cirad ont reconstitué les séquences de chromosomes complets du génome d'un bananier grâce à une technologie utilisant des nanopores.
Des chercheurs du CEA-Iramis (Cimap) et leurs partenaires précisent la nature des effets directs du rayonnement en radiothérapie. Au lieu d’un dommage « primaire » unique, ils observent avec surprise de nombreux dommages secondaires localisés, dus à l’irradiation de l’ADN.
Le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) et le laboratoire EDYTEM (CNRS-Université Savoie-Mont-Blanc-Ministère de la Culture) ont établi une synthèse globale des retombées en césium 137 observées dans les archives sédimentaires à travers le monde. Cette base de données permet d’améliorer la datation des carottes sédimentaires.
Un physicien de l’IPhT et deux collaborateurs proposent un modèle théorique permettant d’expliquer la faiblesse de la masse du boson de Higgs et de la constante cosmologique – réputées incohérentes avec les connaissances actuelles en physique. Ce modèle devrait pouvoir être testé prochainement au Cern.
En s’appuyant sur des analyses de la carotte glaciaire Epica Dome C, une collaboration franco-italienne impliquant le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) met en évidence une désynchronisation des températures maximales en Antarctique et dans l’océan Austral au cours de certains interglaciaires. Ce phénomène s’explique par un déplacement des régions d’évaporation vers les hautes latitudes lors des déglaciations rapides.
Des chercheurs du CEA-Iramis (Laboratoire des solides irradiés) réalisent des actionneurs en polymères magnéto-actifs, préfigurant les potentialités de l’impression 4D et de ses « objets à comportement ».
Une collaboration internationale impliquant le CEA-Irfu a observé un « Jupiter chaud » en pleine « photo-évaporation ». Cette découverte inattendue permettra d’en apprendre un peu plus sur un phénomène qui façonne de nombreuses planètes.
Des chercheurs du CEA-Irig et leurs partenaires proposent des biocides à façon, associant nanoparticules d’argent et cellulose. Résultat : une efficacité optimisée et une économie des atomes métalliques minimisant les effets toxiques et écotoxiques.
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