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Direction de la recherche fondamentale
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Des chercheurs du CEA-Irig font la lumière sur une protéine jouant un rôle clé dans la protection des diatomées contre de forts éclairements.
Des scientifiques du CEA-Irig (IBS) et de l’Inserm révèlent les changements structurels associés à la rotation de cycles aromatiques dans le cœur hydrophobe des protéines et résolvent ainsi un paradoxe de longue date en chimie des protéines.
Deux équipes du CEA-Irig dévoilent des propriétés remarquables du composé UTe2. Des fluctuations ferromagnétiques localisées sur les atomes d’uranium les plus proches voisins expliqueraient la formation de paires d’électrons de spins parallèles signant sa supraconductivité non conventionnelle de type « triplet ». Par ailleurs, de nouvelles phases supraconductrices ont été découvertes sous de très hauts champs magnétiques.
Selon une collaboration menée par le CEA-Irig et le CEA-Jacob, des essais précliniques menés à IDMIT montrent qu’un candidat-vaccin incluant la protéine Spike assure une protection complète contre une infection par le SARS-CoV-2.
Des chercheurs du CEA-Irig, du CNRS et de l’UGA ont développé des complexes bio-inspirés actifs contre le stress oxydant. Leurs travaux permettent de préciser le fonctionnement de l’enzyme naturelle et ouvrent la voie à la conception de molécules thérapeutiques contre des pathologies telles que les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin.
Une collaboration internationale menée par l’Université de Bruxelles, à laquelle participe le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ), analyse la complexité des transferts de carbone des écosystèmes terrestres vers l’océan et pointe la fragilité de l’environnement littoral.
En s’appuyant sur des mesures isotopiques, une collaboration impliquant le BIAM (CEA-CNRS-AMU) et le LSCE (CEA-CNRS-UVSQ) est parvenue à quantifier la quantité de carbone relâchée dans le sol par les racines du mil, après quelques semaines de croissance seulement. Elle a ainsi pu identifier les lignées de mil offrant un stockage de carbone optimal et préservant le carbone plus ancien déjà présent dans le sol.
En utilisant la diffraction de neutrons polarisés, des chercheurs du CEA-Iramis/LLB caractérisent les propriétés essentielles de deux aimants mono-moléculaires, contenant des ions de dysprosium et d’holmium. Le dysprosium l’emporte sur l’holmium !
La collaboration internationale H.E.S.S à laquelle participe le CEA-Irfu a observé pour la première fois une nova « en temps réél », dans le domaine des très hautes énergies.
Deux chercheurs du CEA-Joliot (NeuroSpin) montrent qu’un modèle de réseaux de neurones « récurrents », biologiquement plausible, permettrait de faire des prédictions simples et efficaces, comme notre cerveau.
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Acteur majeur de la recherche, du développement et de l'innovation, le CEA intervient dans quatre grands domaines : énergies bas carbone, défense et sécurité, technologies pour l’information et technologies pour la santé.